mais c qui cet enfant gaté

certains me décrivent comme "branleur", d'autres comme "sensible derrière la carapace". En tous cas, ici, s'exprimera un petit bout de moi: celui des souffrances, des fantasmes et des envies

vendredi 31 décembre 2010

Nativité

En 20 ans, j'ai été amoureux 3 fois. Amoureux au sens de "Tu es ma vie. Je sens ce que tu penses. Tu sens ce que je pense. Un regard nous suffit pour nous comprendre". Amoureux au sens de "Je veux passer ma vie avec toi. Je veux avoir des enfants de toi et nous sommes tous les deux persuadés que cela arrivera un jour"

La 1ere fois, je suis parti au Yémen, persuadé que tu viendrais me rejoindre au bout de qqs mois, ta scolarité finie. Tu n'es jamais venue. Pendant ces 9 mois sans nous voir, tu avais rencontré celui qui est devenu depuis, je crois, le père de tes enfants...

La 2ème fois, je suis rentré d'un voyage/tour du monde que je n'avais pas vraiment commencé. Je n'ai pas dit que je rentrais pour toi. Je me suis à moitié installé chez toi, sans le dire, sans que tu me l'aies proposé. Un peu comme un coucou. Qd, au bout de qqs mois, nous avons eu tous les deux l'impression d'étouffer, je suis rentré chez moi. Qqe temps plus tard, tu as rencontré celui qui, depuis, est devenu le père de ta fille...

Pour ces deux fois là, pendant les qqs années où nous étions ensemble, nous avons dû surmonté un IVG. Très différents à chaque fois, pour des raisons très différentes, avec des non dits très différents (voire quasi opposés) mais présents à chaque fois. Avec des conséquences sur le couple aussi, à chaque fois.
Et un traumatisme, bien sûr, aussi, pour les deux fois.


Pour chacune de ces deux histoires, j'étais conscient que j'étais amoureux et croyais en un futur...

La 3eme fois où j'ai été amoureux à ce point là, je n'en étais pas vraiment conscient. Ou, en tous cas, je l ai refusé. Refusé de le voir et refusé de l'assumer. Et comme tu me l'as fait remarquer un jour, j'étais capable de te parler dans la même phrase de la date de notre prochaine rupture et de te faire une enfant.
Et comme je n'étais pas à une contradiction près, je t'ai dit que je t'aimais mais suis parti à l'autre bout de la France; puis, un an après, à l'autre bout du monde (pour 6 mois qui en ont duré 18).

Alors, sans vraiment le vouloir m'as tu dit,  tu as porté le bébé d'un autre, le bébé de l'homme que je détestais le plus au monde avant même que vous couchiez ensemble. Et puis ce bébé est tombé malade dans ton ventre et tu l'as perdu.
Et puis je suis rentré... mais je n'avais pas été là pour te soutenir qd tu en avais besoin. Alors tu es parti vivre avec celui qui avait été là, jour après jour et vous êtes partis, ce coup ci, vous, à l'autre bout du monde!



Et vous voudriez que je sois heureux et que j'ai envie de mettre des cadeaux au pied du sapin??????????

mercredi 29 décembre 2010

Emménagement...

..en commençant à déballer mes cartons que je n avais pas ouvert depuis des années (au moins 3 pour les plus recents), j'ai retrouvé mon kohl yemenite et mon tube de mascara... J'adooooooore!

jeudi 23 décembre 2010

String, bas et porte jarretelle

Dans qqs heures, pour sûr, je serai heureux de t'entrainer sous se proche, dans cette petite rue du centre ville , dans une de ces ruelles où Stendhal rêvait de Mme de Rénal, de remonter ta jupe, de découvrir, au bout de tes immenses jambes mises en valeur par tes bas, tes belles fesses fermes encadrées des deux attaches de ton fin porte jarretelle et entre lesquelles ton string  s'immisce, comme un invite au plaisir... Alors, ce joli fessier, je te demanderai de le tendre et, t'appuyant contre un de ces piliers de cette ruelle sombre, je te ferai te cambrer d'une belle tape sur les fesses qui résonnera sous ces arcades. Tu me diras alors "chut...viens"...Et je m'enfoncerai en toi, doucement, tendrement, loin, très profond...Et n'arrêterai mes longs et doux va et vient que qd tu me le demanderas...

Mais ça,c pour tout à l'heure...car pour l'instant, je te tiens par la main et traverse cette place Lafayette avec une fierté que je n'ai pas connu depuis des années. Oui ce soir, je suis fier de t'avoir avec moi, de m'afficher avec cette belle femme, fier de savoir que sous ta jupe, tu as décidé de porter pour moi, ces beaux dessous que personne ne verra sauf moi, fier de savoir que sous cette silhouette de sportive que tout le monde admire dans la rue, c l'intellectuelle, la spécialiste de son domaine, l'experte, la battante que je tiens dans ma main et avec qui je vais diner. Fier que celle que j'ai combattu, rivale pendant des années d'enfance, ennemie (sans savoir pourquoi..des restes de jalousie de l enfance peut être) pendant l'adolescence, je l'ai enfin conquise... Fier surtout de ne plus avoir peur et d'avoir transformé le regard blessant et arrogant que j'avais envers toi  en un regard qui espere en permanence un sourire de ta part.

Oui, tout à l heure, dans ton porte jarretelle, c ton cul qui me fera bander mais pour l'instant, en cette place Lafayette, c tes yeux heureux et pétillants, qui font bouillir mon sang ...

Mlle A: Tableau n°0

Une école d'ingé parisienne

Une élève, avec un parcours un peu particulier, plus agée que ses camarades de classe, rieuse, avenante, charmeuse, sensuelle, discrète mais qui sait que tout le monde la trouve belle,  Qd ils en parlent, les profs disent, pour rigoler, "A...? 19!" avec un regard malicieux au coin des yeux.  . De fait, elle est major de promo. En couple avec son amoureux de toujours depuis quasi 10 ans.

Un jeune prof. Connu pour être charmeur mais qui s'est rendu laid avec une coupe de bagnard.
Sentimentalement dans une situation "batarde": meilleur ami (et vice versa) de V., la fille avec qui il espérait passer sa vie (et vice versa). Mais il leur a fallu se rendre à l evidence: c qd ils sont un couple qu'ils sont le moins heureux. Chacun est donc reparti de son coté, célibataire mais passant 1h au tel tous les jours avec son ex. Y ont laissé des plumes avec notamment un IVG en cours de route.

Cette année là, aucun face à face pédagogique n'était programmé.

lundi 20 décembre 2010

Precision importante

Je n ai pas voulu faire comme les chaudasses d'en face et n'ai donc pas affibler chacune de mes partenaires, amies, connaissances d'un surnom. J'aurais peut etre dû!
En tosu cas je précise que les 3 derniers billets parlent de 2 personnes différentes et que mes relations avec ces 2 personnes sont très différentes voire carrément quasi opposées: je crois que j'aimerais bien prendre une douche avec P. et qd je disais que l'Amour se fait d'abord avec la tête je ne parlais pas que de moi...
(et je vais répondre aux commentaires)

interdit

L'autre matin, après notre nuit torride, elle m'a dit qu'elle aimerait bien me sucer sous la douche...
C pas que ce soit pas agréable ce genre de choses, mais, avec elle, la douche, non, vraiment, désolé, mais ce sera pas possible!
Alors je lui ai dit que non, ça ct dans mon domaine réservé, au delà d'une ligne...

Elle m'a semblé l accepter sans problème.
C bien si on arrive à mettre des limites claires...

samedi 18 décembre 2010

avec un peu de recul...

Sur le coup de la déception, sans doute, et sans recul, je vous avais dit ,ici, que je ne raconterai pas tout. Par peur aussi de me laisser dépasser par les mots et d'écrire des mots qui blessent...
Une semaine après, et maintenant que je lui ai écrit d'abord à elle qui me lit ici aussi, j'ai qd même envie d'écrire.
Juste envie de dire que ce WE là, ne s'est pas effectivement passé comme j'en avais rêvé. Pourtant, je ne lui reproche à rien, je ne me reproche rien. Je ne crois pas avoir fait de grosse erreur (j aurais peut être dû me cacher un peu moins mais, même qd on décide d'enlever le masque tout lisse qui cache tout, c pas facile de ne pas se cacher derrière un autre masque). Et si je vous le décrivais dans le détail, il ressemblerait quasi à s'y méprendre à ce que j'aurais écrit comme programme prévisionnel. Et pourtant, pourtant, qd elle est repartie, j'étais déçue...
Sans doute, sans doute, parce que l'Amour, ça se fait d'abord avec sa tête...
(Et P., j attends de te lire avec impatience)

conversation...

Elle m'a rejoint dans la nuit, à la sortie d'une soirée plutôt arrosée, en me disant qu'elle a attendu ce moment toute la semaine. Ma soirée à moi était aussi arrosée. Nous nous laissons aller...je lui dis qu'elle est ma petite salope. Elle me répond qu'elle veut l'être...
Soudain, alors que je la pilonne, elle ahane un "je t'aime!", je feins de ne pas entendre... Elle le répète! Là je ne peux pas faire encore semblant! Mais d'ailleurs ce n'est pas la peine, ça m'a coupé tous mes effets, je me retire piteusement sans un mot. Qqs caresses, me voilà à nouveau en état de fonctionnement! Je la pénètre à nouveau et lui dis "t'es vraiment bonne qu'à baiser". Elle proteste "ah non pas ça, c est pas gentil". Je bougonne un peu en disant que j'ai un peu exagéré puis jouis très vite sur son ventre...

Vous croyez que c'était suffisamment clair?

jeudi 16 décembre 2010

Ronsard

c Mlle Aa qui soudain m'y a fait pensé :
le début avec Mlle A, alors qu'elle n'etait encore que mon élève, a commencé par ce message "Mignonne allons voir si la rose..." auquel elle a répondu qu'il fallait sans aucun doute suivre les conseils de ce cher Pierre...

c'etait si doux...

dimanche 12 décembre 2010

vendredi 10 décembre 2010

A une amie

Ce soir il y a une amie qui a mal! Une amie qui souffre, une amie qui ne voit pas le bout du tunnel parce qu'on vient de décider qu'elle ne pourrait pas voir son fils avant un an!
Cette amie dans la détresse, je voudrais lui dire que je pense à elle, que tous ses lecteurs pensent à elle (puisqu'elle a un blog) et qu'on est là!
Allez, Val, allez, tiens le coup, on va t aider, on va être là, tous les jours s il le faut! mais moi ton fils j ai envie que tu le vois!
Je t embrasse

jeudi 9 décembre 2010

laisser tomber la protection

Ça fait quasi 40 ans que nous nous connaissons, plus de 20 ans que noue ne nous étions pas vus. Et puis cette année nous nous sommes vus 2 fois et avons, à chaque fois, couché ensemble. A chaque fois, je décrivais ici le scenario que je voulais réaliser et c lui qui guidais nos pas pendant notre rencontre. Un moyen de se protéger et de se rassurer donc. Parfois, j'ai aussi dit ici des fantasmes que je rêvais de réaliser avec elle...
...

Nous devons nous revoir très bientôt mais cette fois ci je n'ai pas envie de décrire un fantasme, un scenario. Des scenarii, j en ai des tonnes, des fantasmes aussi: j ai envie de jouer à la vulgarité, j'ai envie de l'exhiber, j'ai envie d'en faire mon objet, de l'offrir, etc...
mais tout ça je veux d'abord lui en parler, je veux que cela soit notre fantasme, notre envie, que ce soit construit ensemble et surtout que ce soit après...
Car ce dont j'ai surtout envie c "juste" de tendresse, de lui tenir la main, de lui dire "viens", de la déshabiller, de la trouver belle et de le lui dire, de la caresser, de la découvrir, de l'embrasser du bout des lèvres.

Pas envie ici de scenario pré-établi, peut être simplement parce que là j'ai l impression (pas sûr hein) que je n'ai pas besoin de me protéger, que je n'aurai pas peur d 'ouvrir les yeux, que je pourrai être moi...

les fantasmes viendront après...

(mais pas sûr qu'elle, c comme ça qu'elle l'entend ...)

Décidemment le passé est passé....

Lors de mon attaque sms de la semaine dernière depuis Yaoundé que j'évoquais ici, évidemment j'ai écrit à Mlle A...
Une heure après, je reçois un sms bizarre demandant qui c'est... Puis le soir meme deux appels... Surpris, je ne répond pas. Comment ne se souvient elle pas de mon numéro? Pourquoi ne laisse t elle pas de message? Finalement, je me dis que je n ai rien à perdre et le samedi matin, sur le marché, sous la neige, je réponds en me disant que cela va faire un sacré contraste entre la neige parisienne et la plage des atolls des antipodes! Mais c une voix de jeune ado qui me parle. Et ce jeune s'interroge: il ne me connait pas, ne connait pas ce numéro et qd j essaie une excuse en disant qu'il a dû se tromper de numéro, il argutie: non, non c bien ce numero qui lui a envoyé un sms! Alors tout s'éclaire: bien sûr, en partant elle a dû résilier sa ligne! Comment garder un numéro dans un endroit où il ne lui servirait qu'à payer hors de prix des communications dont elle n'a plus besoin? Bien sûr, ce numéro n'existait sans doute déjà plus depuis longtemps et simplement SFR l'a attribué à qqn d'autre!
Je peux donc bien l'effacer de mon répertoire!  Oui, ce coup ci le passé est bien  dépassé!

déception

on devrait pas se faire des films...

Çafinit toujours par faire mal!

samedi 4 décembre 2010

capitaine de soirée

pour certains il est vital, au sens premier du terme, de donner leurs clés de voiture qd ils rentrent en soirée. Pour moi, je crois que ce serait mieux que l'on me confisque mon téléphone....
Ça éviterait que j'envoie des sms à  la moitié de mon répertoire téléphonique féminin (je n'ai épargné que celles dont je  savais qu'elles ne dormaient pas seules,... et encore..) à 4h du mat pour dire que je suis bourré et que j'ai envie que qqn me prenne dans ses bras..
Vraiment parfois je me trouve pathétique...

vendredi 3 décembre 2010

Bourré à Yaoundé

je ne suis pas sur que ce billet ait bcp de sens
il ait 2h30 à Yaoundé.
Mon taxi pour l aéroport est dans 1h
J ai décidé de ne pas dormir et sors tout juste de boite où des filles toutes plus sexy les unes que les autres sont venues me tourner autour...l'attrait du blanc et de ses euros sans doute...
Mais ça, vraiment, c pas mon truc...
alors ce soir j ai pensé à Mlle A, à Pe., à Map., à Mlle Aa, à mes 2 V., ...à R. aussi mais là de façon bcp plus professionnelle (nous avons dépassé depuis fort longtemps(quasiment 15 ans) le stade de la séduction) ...
toutes différentes, toutes m apportant des choses différentes mais à qui j ai envie, à toutes, de dire "je t 'aime!"




pour chacune d elles, pour chacune d'entre vous, bien sûr, ce "je t 'aime" voudra dire des choses si différentes, aussi bien dans ma bouche que dans votre oreille...
mais en tous cas, il veut dire "faisons donc un bout de route ensemble"
 (quant à la forme de la route, libre à nous de la créer)




allez, encore 3/4h avant mon taxi mais je vous embrasse tous et toutes

mercredi 24 novembre 2010

hier soir, dans un cocktail professionnel

...on ma dit que j étais vraiment beau puis comme je réagissais pas, que j'étais beau gosse.
Ca aurait du me faire plaisir...
Pourtant j'ai été gêné...
Je me suis même dit "méfie toi, fais attention à toi" et puis je me suis raisonné: c pas parce qu'il était bourré (et moi aussi) que ce collègue à l'homosexualité connue de tous allait me sauter dessus là tout de suite!

lundi 22 novembre 2010

acte manqué?

Voilà qqs temps, j ai enfin commencé à coucher sur le papier mon histoire avec Mlle A, cette histoire qui me hante depuis tant de temps et dont je vous disais qu'elle commençait à être du passé...
Depuis que j'ai décidé que j'allais retranscrire sur ce blog ces moments de vie (en plusieurs episodes sinon ca va être trop long ou alors je vais peut être en faire un résumé), impossible de mettre la main sur ce fichu papier...

En même temps, une fois que j aurai écrit ça, ce blog aura t il encore une raison d'être?

samedi 20 novembre 2010

A afficher à l interieur de ma porte d'entrée

pour que ça finisse par me rentrer dans la téte et que je m en souvienne qd je sors:


Je ne suis pas obligé de me comporter, comme 90% des cas, comme un pré-ado complexé, frustré, timide, qui ne sait pas parler, ne fait que se cacher derrière des cheveux longs, ne sait que soulever les épaules pour répondre à une question, éviter toutes les tentatives de conversation et croit que la seule façon de nouer une relation avec une fille est de lui sauter dessus!
Me souvenir que je sais AUSSI être un adulte charmant, charmeur, hâbleur, avec de la conversation, qui sait sourire (aussi avec les yeux), pouvant discuter de plein de sujets intéressants,  etc etc etc
BORDEL MERDE!!!!!


(et aussi essayer de se convaincre qu'avoir l'accent du SE ne va pas vous faire classer aussitot dans la categorie des semi-débiles....mais là c plus dur)

vendredi 19 novembre 2010

c moche...

j avais dit que je partais plus, que je reprenais une vie normale, sédentaire, que je réaménageais mon appart...

Cet aprem, on m' a dit qu'il y avait peut être une mission à Yaoundé dans 10 jours... 30 min plus tard, j avais réservé le billet d'avion, décalé mon agenda et préparé les formalités de visa...

je me trouve moche en ce moment...

jeudi 18 novembre 2010

hier, pour la première fois...

... j ai eu peur de mourir...


...j aime pas ça...

un grand retour

ça ne se voit pas trop car ses billets sont sans titre pour l instant (et qu'elle n'a pas ouvert les commentaires) mais je voudrais qd même souhaiter un très bon retour sur la blogosphère à Charlotte . Surtout qu'elle a l'air d'aller mieux, la petite Charlotte, et ça c cool.
Alors bon retour parmi nous, Charl'

mercredi 17 novembre 2010

Past is past

C'etait il y a qqs temps déjà. Je vous avais parlé de stéréopréparation . Alors je lui avais écrit, puisque ma stéréopréparatrice adorée, c'était elle. Et sous couvert de questions techniques et professionnelles, j'avais fini par évoquer, comme d'hab, un souvenir qui me faisait mal... Je pensais qu'elle ne répondrait pas, comme souvent, ou alors un truc du genre "arrete, stp". Genre "je veux oublier" ou "laisse moi oublier" ou "ne remue pas les choses qui font mal".
Mais là, non, elle m'a répondu, très vite, tranquillement. En répondant précisément à mes questions professionnelles et techniques. Quant à mon évocation, elle ne l'évita pas mais répondit d'un très clair et très ferme " c'est du passé". Mais qui ne voulait pas dire (en tous cas c pas comme ça que je l ai pris), "ne le ramène pas à la surface" ou "ça fait mal de l'évoquer, n'en parlons plus". C'était juste une constatation, un "tu fais ce que tu veux, mais pour moi c du passé, du souvenir". C'était une façon de me dire que cette évocation elle ne la niait pas mais c'était du passé de carte postale, au vrai sens du mot "passé", quasiment "dépassé". On n'était plus dans le passé composé, ce passé présent. Non là vraiment c'était du révolu. En tous cas c'est comme ça que je l ai lu. Et alors je me suis dit "oui, après tout, elle a raison, c fini tout ça. Ce moment que j evoque, le debut de la fin, ct il y a 3 ans, 4 ans, je sais plus mais oui c fini. Cela a été mais cela n'est plus." Il était donc enfin temps de la ranger dans al boite "souvenirs" d'en parler vraiment au passé, comme une vraie histoire ancienne, comme une carte postale, belle ...mais figée...
ce "c est du passé" venait de faire déclic dans mes petits neurones; je pouvais sans doute à nouveau être amoureux

mardi 16 novembre 2010

c ça un couple sans désir?

Elle m'avait dit que puisque j'étais partageur et pas elle, il valait mieux pas qu'on se revoit...mais finalement elle a accepté ma première relance...
alors, deuxième partie de soirée, qqs mojitos dans le pif, je débarque chez elle. Elle aussi finit tout juste une soirée...
Nous avons visiblement physiquement tous les deux très envie et le début de nuit se passe bien. Pourtant force m'est de constater que ce n'est pas à elle  que je pense. Peu importe, là c à moi que j ai envie de penser, égoïste.
Lendemain matin, grasse mat, encore et encore. Toujours ce drôle de sentiment: je suis là mais je ne suis pas là. Nous baisons, elle jouit (enfin je crois), j'éjacule... mais je n'arrive pas à la caresser vraiment (au delà du geste technique en tous cas) et surtout surtout ce n'est pas elle que je vois derrière mes yeux fermés; surtout surtout, ce n'est pas elle que j ai envie de découvrir, d'explorer, à qui j'ai envie de parler, que j ai envie de prendre dans mes bras, que j ai envie d'écouter...
D'ailleurs, alors qu'elle a repris des fesses, qu'elle a de beaux seins et qu'elle a laissé repousser qqs poils autour de sa chatte, je ne l'embrasse pas, je ne la suçotte pas, surtout je ne la lèche pas!!!
Et ça  c est un signe!
 
Finalement qd, en debut d'apres midi, je m'en vais, nous nous quittons avec un "A un de ces jours", qui je trouve, résume tout.

Je ne sais pas si c à ça que ça ressemble ce que me m avaient raconté certaines sur le sexe sans désir avec leur officiel mais là, en sortant, outre que j ai du mal à émerger (la gueule de la boulangère devant ma tête d'ahuri demandant un croissant et un pain-choc à 16h), je me trouve "moche"

lundi 15 novembre 2010

langue

envie de déshabiller, envie d'effleurer, envie de découvrir doucement, lentement, tendrement, du bout des yeux, du bout des doigts, du bout de la langue, cette peau que je dé-couvre, que je sens, que je respire, que, surtout, je goute...
envie de n'être plus que ces yeux, que ces doigts, que cette langue... éteindre le cerveau mais pas pour devenir un animal, éteindre les neurones pour n'être plus que sensibilité, que sensations...

 et puis découvrir ta peau, te parcourir, aller du derriere de ton oreille à tes orteils, mordiller ta nuque, embrasser ton dos, aspirer tes tétons, les mordiller, embrasser le coté de tes seins (là sur le coté, là où ils se courbent doucement sous leur poids), fouiller ton nombril, continuer continuer continuer, passer la nuit à  t'embrasser, ne pas s occuper de pénétration car nous avons tout notre temps, il n'est pas question pour le moment de possession, non, juste de découverte, de te dire combien je suis content d'etre là  et à quel point j ai envie de savoir qui tu es ... Prendre son temps, toute la nuit est pour nous, sentir ta langue, sentir tes mains, sentir nos peaux contre peaux, garder des bouts de tissus puis les enlever, les faire glisser, les sentir qui trainent encore, jouer avec eux...
Oui cette nuit est celle de la découverte et j'espère qu'il y en aura encore beaucoup d'autres comme ça...oui envie de savoir qui tu es et je sais que cette nuit m apprendra beaucoup sur toi sur moi sur nous, alors je veux juste qu'elle dure, je veux te faire confiance, je veux te montrer que tu peux me faire confiance,que tu ne risques que des caresses avec moi, que ce soir tout ne sera que douceur, envie, désir, que la frustration ne sera que le prélude du plaisir.
Je veux passer des heures à jouer avec ma langue, je veux te decouvrir, je veux t explorer, je te veux...

Je l'ai déjà écrit plusieurs fois  mais je je crois que pour moi l'acte d'Amour, l'acte intime, celui où je ne triche pas est celui où mon "ustensile" est ma langue.
Il y a qqs  filles avec qui je n'ai eu de plaisir qu'avec ma langue, qui n'ont offert leur sexe qu'à ma langue (elles avaient ainsi parfois moins l impression de tromper leur officiel) . Elles ont toutes eu bien plus d'importance dans ma vie que celle que je n'ai "que" pénétré et que j ai parfois presqu'aussitot oublié...

navritude

Ça me refait penser au billet de leffrontée ici mais je dois reconnaitre que de la même façon que j'en connais qui ont le cerveau éteint dès qu'elles ont un rosebud en place, j'en connais au moins un dont les neurones sont court-circuites qd il sait que la fille assise à coté de lui n'a pas de culotte sous sa jupe...
c un peu dommage qd même...

dimanche 14 novembre 2010

classe BB, je crois

Planté entre ses fesses, je n arrive pas à jouir malgré ses cris d'encouragements et son beau fessier. Soudain, une vision: Mlle aa en train de se faire fesser par le hollandais! Aussitôt j'éjacule à grands jets ! C est bon...

samedi 13 novembre 2010

pas vu le jour aujourd hui

RV avec Mlle aa vendredi 21h, sorti du lit samedi 16h!

Pas sur que ce soit lié...

jeudi 11 novembre 2010

Priorité

Mesdames, Mesdemoiselles,
un peu de patience...


je ne vous oublie pas et chose promise chose due bla bla bla...

mais je n ai  commencé l'alphabet ni par le debut ni par la fin mais par le milieu... mais attention le milieu n'est pas le M de Manue, de Marion ou de Mona mais...

celui de Maman...


et oui, que voulez vous, je suis un latin et de si longs mois sans sa maman...

Pour être plus sérieux, j'ai passé 2 jours chez elle (avec toute la famille, pour un anniversaire...) et la voilà à Paris pour qqs jours (puisque mon père est venu me donner un coup de main pour retaper l appart (et comme il ne se déplace pas qqs jours sans elle...))...

Mais là,  J EN PEUX PLUS! vivement que vous retrouve ;-)

dimanche 7 novembre 2010

chose promise chose due

donc je l annonce: je suis rentré...

mercredi 3 novembre 2010

place sociale

 lounge Business à Bahrein, vol en 1ere... je profite, c agréable ...
..soudain je me surprends à lire des articles de journaux que je ne lisais jamais,  à m'habituer à un certain "luxe", surtout à avoir un mode de pensée que je détestais, à avoir des pensées "déviantes". Je me rends compte surtout que je ne vois de plus en plus les gens que comme des "éléments à optimiser", que je ne considère la vie que "comme une suite d'activités dont il faut réguler les entrées, les sorties, les résultats et les coût"...

ahrggghh, il faut que je reapprenne vite à faire des choses gratuites, sans enjeux, sans stress!!!

Vite vite, je veux me retrouver avec un short en jean déchiré, torse nu, en train de courir derriere un ballon en me moquant que le score soit du 14 à 13 ou de 2 à 1...... Ah il pleut sur Paris et c l hiver? comment je vais faire alors?

lundi 25 octobre 2010

Beauté

Hier, alors que nous parlions d'une connaissance commune qui pose de façon occasionnelle pour des photos de pub, elle m'a dit "toi aussi tu pourrais..."
Je dois avouer que même si je sais que c pas vrai, même si elle n'a aucune qualification pour que son avis soit crédible et surtout même si elle n'est absolument pas objective puisque c.... ma Maman, ça fait quand même très très plaisir...

dimanche 24 octobre 2010

envie

de legerete, de joie, de plaisir, d insouciance, de danses,
de mon corps libre et volant, de mon corps etendu repose reposant
de mom esprit vide
de seduire sans penser  a rien d autre que la femme en face de moi
de jeux
de sourires, de coups d oeil
...
...
de vie quoi

jeudi 21 octobre 2010

commentaires et precisions

je sais que normalement ca se fait pas mais là comme j ai bcp de retard dans mes reponses au commentaire, les concerné(e)s n iront pas chercher ma reposne si loin, alors je les fais là

alors dans l ordre


@c qui me demande quoi j ai peur: simplement de perdre ma liberté, peur des menottes qu elles soient physiques ou de coeur, qu'elles soient imposées ou, pire, librement consenties

@colombine: bien, ej vous felicite à mon tour si tout le monde trouve votre chatte épilée très jolie. Quant à moi, je persiste à penser que même ou surtout qd les lèvres sont belles (qu elles soient ourlées ou épanouies) elles sont bien plus belles encore dans leur léger écrin de poils. (mais je en demande qu'à voir, hein et à changer d'avis)
Sinon je crois que ce qui me genait, ct jsutement de ne pas avoir à la séduire, de ne pas avoir de combat, de ne pas avoir à me battre. Et ouis je crois que j aime les boudeuses, les "Géneral". Je n ai pas envie qu on me demande ce que je veux. Ca ca me fait souvent un peu fantasmer mais dans la vraie vie, ça me fatigue très très vite.... C effectivement la sensation qu'elle était prête a tout accepter qui faisait que j etais absolument certain que je ne pourrais jamais être amoureux d 'elle...


@Cedulie, Dosto et Sophie au sujet de l ile déserte: cette ile n'appartient à personne si ce n'est au gouvernement du pays en question. Je n'y allais que pour affirmer une souveraineté pas une propriété. c'est à mes yeux légèrement différent même si dans le cas présent ça ne change rien.
Mais contrairement à ce que peut laisser penser la photo cette ile déserte n est pas paradisiaque du tout. pas un brin de végétation, 1km² , 40° minimum tous les jours et des milliers de cormorans en train de nicher. Je pense que la durée de vie est de qqs jours grand grand maximum...
Je suis qd même super content d'avoir fait ça


@Armandie au sujet des explorations: oui l important c d explorer, peu importe quoi et comment ;-)

@Aphrodite, Dita et Petite_Française: je n ai à aucun moment parlé de chaleur ou de soleil (c fou hein comme on extrapole ou comme on se projette): là où je suis j ai bcp bcp de soleil et bcp bcp bcp de chaleur...
Ce n est donc pas du tout ça qui me manque (par contre qd je vais rentrer dans 2 semaines, oui là ça va ete dur).
C donc bien de "baisers défatiguant" comme me les propose Armandie dont je rêve (merci Armandie)
Dita, lassitude ou fatigue, je ne sais... Besoin de repos en tous cas, ça oui. quant aux hommes qui en savent pas se contenter de debuts, je m insurge : tout d'abord rappeler vous ce billet sur une "tendre au revoir", il me semble que cela relevait plus de la caresse (malgré la penetration); ensuite je poeux vous assurer que chaque fois que j 'ai été amoureux, il y a eu qqs matins où j ai réveillé mon amoureuse par qqs caresses douces très douces, très lointaines puis de plus en plus sensuelles et sexuelles, pour finir par un reveil labial qui consiste à masser tendrement les levres l'une contre l autre jusqu'a ce que le coulissemnt de l une contre l autre se fasse avec une grande suavité. Dans ces cas là je m interdis aussi de toucher votre bouton sensible. Et ben qd je disais "bon allez maintenant on se lève", il ya tjs eu des protestations ...et les rares fois où je n ai pas cédé, j'ai toujours entendu que ct trop cruel ce que j imposais là ;-)

@petite_française, tu nous la racontes  cette histoire?



Bises à toutes

lundi 18 octobre 2010

fatigué?

envie de

...plage...
...bain...
..randonnees...
...douces caresses (surtout pas d orgasme devastateur ou de seance de gym)...
...siestes coquines  (j ai pas dit crapuleuse)...


oui je crois que là je commence à fatiguer...

vendredi 8 octobre 2010

Une ile déserte




Une fois n'est pas coutume , je ne vais pas parler de femmes, de sentiments ou de c.. mais de boulot...

Car aujourd hui, j ai fait un truc un peu particulier: je suis allé implanter un point sur une ile pour qu'une nation y affirme sa souveraineté. C'était un peu comme poser un drapeau en haut d'un sommet. Nous étions accompagnés par les gardes cotes du pays en question, nous avons évité dans notre approche de passer en vue des voisins puis au bout d'un quart d'heure remarqué que les dits voisins s'etaient postés à leur point limite te nous observaient...
Nous avons fait deux trous, posé deux repères, couler une borne en béton avec en gros le drapeau du pays en question et mesuré les coordonnées du dit lieu, à qqs mm près.
Cette ile est vraiment une ile déserte, un bout de caillou avec juste des milliers de cormorans que nous avons dérangé en pleine nidification pendant qqs heures (ça sent le génocide "cormorannien" à plein nez)...


Une fois parti, j avais le sentiment du travail accompli!

Tout ceci était bien ridicule mais donnait en même temps l'impression d'être redevenu comme mes prédécesseurs (les Cassini et autres Laplace) une espèce d'explorateur...(à part ça les chevilles, ça va merci)

vendredi 1 octobre 2010

tendre au revoir

Je partais en mission, une fois de plus, loin, pour qqs semaines. Nous savions donc que nos corps, nos lèvres, nos mains qui déjà ne se voyaient, ne se rencontraient que cachés, ne se trouveraient pas dans les jours qui allaient suivre.
Juste avant que je parte, alors qu'elle n'avait que qqs brèves minutes devant elle, elle m' a appelé , m'a demandé de la rejoindre dans une de nos cachettes, un des ses recoins cachés du btaiment dont nous seuls connaissions l'accès.
Après qqs baisers torrides, je lui ai demandé de pouvoir lui dire "au revoir". Elle s'est alors retournée , a relevé sa jupe. J ai baissé son collant et sa culotte et je l ai pénétrée doucement, très doucement, tout en douceur. Nous avons profité tous les deux de cet instant magique. J'ai fait 2 allers retours très tendres puis me suis retiré. Nous n'avions envie ni l'un ni l'autre d'une jouissance, de la violence d'un acte sexuel habituel. Je n'avais aps envie de la baiser, elle n'avait pas envie que je la baise: "juste un aller retour pour dire à bientôt".

Nous n'avons joui ni l un ni l'autre, nous n'avons pas connu l'orgasme ce jour là mais longtemps après j'en garde encore un souvenir plus qu'ému....

samedi 25 septembre 2010

que veut elle?

Elle m envoie un mel pour proposer qu'on se voit dans 2 jours. Je ne réponds qu'1h avant le RdV proposé. Elle accepte avec empressement...
J arrive avec 30min de retard. Elle m'accueille avec un grand sourire et répond à mon semblant d'excuses minimales avec un grand sourire que « l'important c est que je sois là » et s'excuse presque que les gares de Vélib de son quartier soient toutes pleines...
Elle m'écoute me pavaner avec un grand sourire pendant des heures (ou presque)...
Elle passe la nuit à me demander ce que je veux, si je veux qu'elle me suce un peu plus, etc...
Comme je proteste un peu parce que son sexe est épilé, elle s'excuse à nouveau et me promet de laisser repousser pour la prochaine fois...
Elle aimerait que je jouisse en elle plutôt que sur elle...
Elle a recommencé à prendre la pilule puisque nous nous sommes vus déjà 2 fois...

....et avec ça elle voudrait que je devienne amoureux??????????????



Heureusement, j'ai réussi à caresser son sexe trempé sous la table de la brasserie en bas de chez elle...
Heureusement, je me suis beaucoup amusé dans ses escaliers...
Heureusement, je l ai exhibée à ses voisins (mais pas sûr qu'ils l ait vue) pendant qu'elle essayait de fermer ses volets....



Je ne suis pas sûr que ça suffise!

mardi 21 septembre 2010

bientot guéri?

Une soirée entre amis... La discussion vient à parler d'elle, de son copain, de leur vie, à des milliers de km d'ici. Pour la premiere fois depuis des mois, j'arrive à ne pas détourner les yeux, j'arrive à écouter d'autres parler de sa nouvelle vie, j'arrive à parler d'elle sans parler de ma souffrance, j'arrive à parler de qui elle est sans avoir la voix qui tremble...

Une nuit... Dans un lit qui n'est pas le mien, dans des bras dont je ne suis pas amoureux, j'ai, enfin, à nouveau révê d'elle... Elle etait de passage en France (en provenance d'un pays bien plus proche qu'elle n'est), s'arretait dans une gare en correspondance. Nous nous rencontrions. Je la serrais dans mes bras, lui demandais des nouvelles de la fille qu'elle n'a pas, de son homme. Sentais son bonheur eclatant sans en sentir de rancoeur puis la raccompagnais jusqu'à son train où je la serrais encore très fort en lui souhaitant sans arrière pensée et sans aigreur tout plein de bonheur...


Ce coup ci peut etre bien que la guérison approche ;-)
Va falloir que je vous le raconte ce déclic ;-)

lundi 20 septembre 2010

dedans ou dessus?

Je n'arrive plus à avoir du plaisir que par la sodomie et ce plaisir n'est pas celui que me procurait jusque là la sodomie. Rien à voir avec ce sentiment d'appartenance, de don, de puissance, que cette pratqiue me donnait jsuque là...
Je n'arrive à jouir (au sens éjaculer) que si je maitrise parfaitement la situation et sais que je vais pouvoir "jouir dessus et pas dedans" (comme elle m a dit)....


Vous croyez que les 2 IVG et l'IMG qui m'habitent ça a un rapport?

samedi 18 septembre 2010

je suis idiot...

...je n'etais à Paris que pour une semaine et au lieu de me dire que c'était l'occasion de profiter à fond de la vie parisienne, j'ai passé ma semaine à occuper mon temps en attendant de pouvoir repartir... C'etait vraiment vraiment idiot!

lundi 30 août 2010

Erotisme, internet et monde au masculin

Jusqu'à présent, tout du moins depuis que ma libido s'est réveillée il doit y avoir à peu près 25 ans, ma vie s'est déroulée sur 2 mode:"filles on" et filles off".
Filles "on", ça veut dire un mode de vie à l'occidentale, entouré de filles avec qui on peut avoir des relations sociales non uniquement érotiques ou sexuelles, un monde où la séduction existe et où sourire a sa place, un monde où on peut admirer les jambes des filles dans la rue,
un monde où on peut avoir des discussions avec les gens du sexe opposé, où des relations professionnelles existent, un monde avec internet et les blogs. Un mode où les filles existent à la fois en tant qu'objet de fantasmes et comme être social, un monde où elles existent complètement si j'ose dire:
dans leur socialité et dans sexualité: membre à part entière du corps social et objet sensuel et sexuel.
Le mode "filles off", c 'est un monde moyennageux où elles n'existent pas autrement que comme objet lointain passant qqe fois dans le paysage.
Où aucune relation avec elles n'est possible: ni sociale ni sensuelle ni encore moins sexuelle. Elles n'existent pas, simplement. Une œillade en 3 mois et dont on se souvient 15 ans après..
Un monde où les filles courent se cacher si vous rentrez par mégarde dans leur environnement.
Dans le mode "on", comme tout le monde, j imagine, ma libido existe, s'exprime, a des accès de temps de en temps,, se rendort, bref, existe mais ne commande pas tout.
Dans le mode "off", après qqs semaines d'adaptation, après qqs semaines de frustration et de manque (manque d'un sourire par exemple) - phénomène hormonal ou psychique je ne sais -, la libido s'éteint, s'endort sans doute pour ne pas avoir été activée.
Et ma foi, on vit pas s'y mal, ne se rendant plus vraiment compte de cette absence, vivant dans un monde d'hommes, pour des hommes, où la séduction n'existe plus, où le désir est sans doute tellement refoulé qu'on a l'impression qu'il n'existe plus.
J ai toujours bien vécu ce mode là, même si je n'ai jamais eu à le subir plus de 6 mois d'affilée.

Depuis 2 mois, j'expérimente un nouveau mode. Officiellement c'est le mode "filles off", au milieu du désert, dans un monde purement masculin et professionnel en pays musulman plutôt rigoriste... sauf que, malgré la censure, la télé satellite... sauf que internet... sauf que les blogs, vos blogs chers lecteurs et lectrices (surtout)etc...
Et du coup ma libido ne s'est pas éteinte et mon activité hormonale ne s'est pas ralentie. Je me retrouve donc avec une libido plutôt en forme, des hormones à fond mais pas d'activité sociale, pas d'échanges de regards, pas d'échanges de sourire, pas de discussions... Non pas que tout ceci assouvisse la libido mais cela la canalise, la civilise, transforme l'animal que nous sommes en être humain.
Et donc c'est n'importe quoi! Je me comporte comme un goret, comme un obsédé, comme un gamin de 15 ans qui a peur des filles mais ne pense qu'à ça: échange de commentaires peu reluisant et déplacés avec petite française ici, mél qui me déshonore envoyé à une bloggeuse amie, clics sur les liens de pub de soutif et string de la Redoute sur le site du Monde (ado de 12 ans, je vous dis!), etc etc
Vraiment du n'importe quoi!!!

Alors pour essayer de me rappeler que je suis encore un être humain, cela m'amène 3 conclusions:
a) vivement que je rentre (puisque je ne peux pas couper le net)
b) tous ceux qui se comportent de la sorte (et je pense notamment à la navritude que leffrontée racontait ici) doivent avoir vraiment une vie sociale misérable voir inexistante pour que celle-c n'arrive pas à canaliser leur libido et faire d'eux autre chose que des animaux
c) Avec l'avènement de la TV Sat (et notamment des chaines libanaises aux danseuses lascives et dénudées), avec l'arrivée d'Internet et quoi que fassent les censeurs, les jeunesses arabo-musulmanes vont forcément devenir folles, schizophréniques et in-civilisées (et pourtant Allah sait qu'elles furent parmi les plus belles, les plus développées et les plus savantes)

dimanche 22 août 2010

ce qu elle veut...

Ca fait un bout de temps déjà que je sais qu'elle a envie de moi, qu'elle aimerait que je lui donne de la tendresse, de l'attention, du plaisir. De mon coté, j'apprécie sa sensibilité, son coté "révolté, mais de désir, jusqu'à aujourd'hui que nenni! Pourtant, je sais qu'elle n'est pas bégueule et son sens de l'érotisme et sa sensibilité à fleur de peau m'émeuvent.Allez savoir!

Pourtant aujourd'hui, j'ai décidé que ce coup ci, j'allais lui montrer ce que je savais faire avec ma langue, j'ai envie de la voir jouir, envie de la voir me supplier de la prendre et de lui dire "non", de l'avoir à ma merci.

Elle a accepté le deal: je veux bien lui faire don de ma langue mais je ne veux pas jouer au couple, je ne veux pas avoir à la déshabiller, je veux être un gigolo, son objet, une langue c tout: qu'elle m'attende chez elle, en dessous, offerte.

Et en effet, qd j'arrive chez elle, la porte est ouverte et elle m appelle du fond de l appart. Je m'avance vers la voix et, effectivement, elle est là, sur le lit, cuisses écartées, une main dans sa culotte en dentelle. Je vois qu'il y a de l'activité là dedans... Parfait, au moins, pas de risque qu'elle ne soit pas excitée. Ca me rassure et m'excite à mon tour: moi qui avait décidé de ne pas me déhabiller, je me sens très à l'endroit dans mon jean. Tant pis. Il ne faut pas que je cède, pas déjà...
sans un mot, je m approche, m'agenouille, avance en rampant sur le lit, lui demande d'écarter sa culotte elle même: je veux que seule ma langue la caresse...
Son sexe est beau, excité, baveux, ouvert, appelant la caresse... Ma langue part donc à sa découverte en commençant doucement par l'exterieur: qqs bisous sur son Mont de venus, dans chaque aine, puis ma bouche englobe ses grandes lèvres et s'amuse à les faire coulisser l'une contre l'autre. Mais elle veut plus. je la sens se tortiller et je sens son jus qui coule dans ma bouche (c bon d'ailleurs). Pourtant soudain elle me repousse. Je ne comprends pas mais très vite, j ai l'explication: c pour enlever cette culotte qui la gêne et, aussitot débarassée et donc soudain libre de ses mains, pour empoigner ma tête et la coller avec force contre son sexe gourmand, avide , affamé. Je n'ai plus le choix: il n'est plus question de découvertes, de tendresse, de suçotage. Non là je suis sommé, physiquement forcé, de lapper à grand coups de langue, d'aspirer, de mordiller, de pénétrer au plus profond. Je n'en peux plus, je sens des crampes arriver dans la machoire, j'ai du mal à respirer mais je ne peux pas m'échapper. Et puis ct un peu le contrat (même si normalement je devais lui montrer la douceur d'un tendre cuni exploratoire) qd même.
Au bout d'un temps qui me semble interminable (même si maintenant j ai un souvenir mémorable de ses effluves), j'arrive enfin à décoller mon nez, mon menton de se sexe, mais elle est insatiable et un doigt voire deux ont déjà remplacé ma langue. Elle n'est d'ailleurs plus vraiment là, toute à la recherche de son orgasme et surout, moi je n'existe plus! Je voulais n'être qu'une langue qui la fasse jouir: tant pis pour moi et d'ailleurs je n ai pas vraiment réussi à al faire jouir, alors elle va se débrouiller toute seule!
Je suis vexé et la voir se caressser, offerte, m excite à mon tour...Alors oubliant mes principes et toutes les règles que je m étais fixé précédemment, je me déshabille, la retourne et la pénètre enfin d'un coup sec et profond....

mercredi 18 août 2010

ce que j aime bien aussi dans les blogs

c qu on peut dire "elle" ou "tu" et que ça peut concerner des personnes différentes d'un billet à l'autre...

...voire même que parfois certain(e)s prennent ce billet pour eux (elles) alors que non, pas du tout... Mais là, ça j'avoue, j'ai un peu de remords...

mardi 17 août 2010

et si je passais à autre chose?

je vous en dirais plus plus tard mais là ce matin, il se pourrait qu'il y ait un mél qui ait fait tilt

mercredi 11 août 2010

stereoprep

Ce billet va sans doute paraitre abscon pour bcp d'entre vous (et peut etre meme tous) mais c est ainsi:



Là cet après midi à la sieste, j'avais soudain envie que tu sois là, juste là, en face de moi, et qu'on se fasse des bisous, des bisous d'amoureux, presque chastes mais qui veuillent dire je t aime. Plein de bisous, des milions de bisous sur les yeux, sur la bouche dans le cou...Mettre en route la machine à bisous...

Pour la première fois depuis longtemps, j avais envie d'un corps que j'aurais plaisir à regarder pour le plaisir des yeux, dont j'aurais plaisir à sentir le souffle et de m en approcher.
Pas d'un corps dont on veut profiter de la chaleur après l amour, pas d'un corps qu'on serre contre soi pour ne pas le voir, pas d'un corps dont on profite de la douceur de la peau, pas d'un corps auquel on tourne le dos et contre lequel on va qd meme se blottir en oubliant qui il est...
Non cet aprem, à la sieste, j avais envie de tes yeux qui pétillent pdt que mes lèvres te disent "je t'aime..."
...
...
...
Ça doit être parce que depuis 2 jours je fais de la stéréoprep...

dimanche 8 août 2010

Envies

envie de te prendre debout contre un mur dans ta salle à manger
envie de prendre debout contre un arbre en forêt
envie de te voir les seins écrasés contre ta table, jupe relevée, pendant que je te pilonne
envie de te lécher, à 4 pattes à l'arrière de ta voiture, sur un parking le long d'une Nationale
envie de te voir m'offrir tes fesses et ta chatte à travers ta culotte fendue pour que je te prenne en levrette
envie de te voir allonger sur ton lit, ouvrant la bouche, tendant la langue pour que je vienne, debout, y poser mon sexe durci par ta vue si excitante
envie de te faire découvrir et aimer la sodomie
envie de jouir dans ta bouche
envie de te voir prise par un autre pendant que tu me suces
envie de jouir dans ton sexe pendant que ta compagne te lèche puis passer alternativement de ton sexe à sa bouche
envie de la voir lécher ton sexe dégoulinant de mon sperme


envie de te baiser, quoi!

jeudi 5 août 2010

ce qui est penible...

...qd on n'est qu'amant caché c que:
on peut pas téléphoner qd on veut
on peut pas envoyer de sms comme on veut
on peut pas dire ses envies comme on veut (bon y a le blog qd meme...)
(on peut meme pas mailer comme on veut mais là c parce qu elle exagère qd meme)
on peut pas b... qd on veut, non plus....


Pourtant, pourtant, malgré tout ça, je crois qd même qu'amant est décidemment la situation que je préfère

mardi 3 août 2010

résister

Mr Sarkozy, que veut dire "Français d'origine étrangère"?
Mr Hortefeux, parce que mon grand père s'est battu pour la démocratie en Espagne, je devrais avoir moins de droit que vous? je devrais être encore plus irréprochable? Nous, les Zidane, Cavana, Platini et autres Marie Curie serions donc des citoyens de seconde zone???????? Tous les enfants de ceux qui ont bâti la France, de ceux qui se sont battues pour elle, ou pour ses idées, de ceux qui ont donné leur sueur à la France, qui construisent vos routes, ramassent vos poubelles, nettoient vos escaliers, tous ses Français qui se nourrissent de métissage, de pluralité culturelle, qui enrichissent chaque jour la France de leur diversité, devrait être encore plus exemplaire que les gaulois fils de gaulois? Depuis qd le fait de n'avoir que du sang auvergnat donne t-il des droits supplémentaires?

Mes aïeux huguenots se sont levés pour la tolérance religieuse, mes
grands parents pour la liberté respectivement en Espagne et en France: Mr Sarkozy, Mr Hortefeux, vous me trouverez sur votre chemin si vous faites de l'intolérance et du racisme votre crédo

samedi 31 juillet 2010

Elements de réponse

Grâce aux questions soulevées et aux commentaires posés par ces dames ici, je crois que j'ai un bout de réponse: peut être parce qu'il n'y avait pas de place pour elles dans le rêve que je présentais et représentais...
Comme dans les îles paradisiaques: c bien pour les vacances mais on n'est pas d'ici, notre place n'est pas là...

Les faire rêver si je ne leur montre pas qu'elles peuvent y avoir accès pas seulement comme spectatrice (dans le meilleur des cas) voire comme briseuse de rêves (dans le pire), forcément le projet va être difficile à monter...


A méditer, le soir, au sommet d'une dune ...


Merci mesdames!

vendredi 30 juillet 2010

Question

Pourquoi entre un mec qui les fait rêver et un qui leur assure un bonheur quotidien, au final, choisissent elles, toujours, celui, certes moins brillant, certes moins beau mais qui assure une présence régulière et du bonheur quotidien??????????

lundi 26 juillet 2010

Don Juan?

ct juste avant de partir...
une collègue à moi , amie à elle, s'était mis en tête que, puisqu'elle cherchait un mec et que je n 'avais pas de compagne attitrée, ça pourrait le faire...

J'avoue que rien ne m'énerve plus que ça, qu'on décide à ma place! Et puis, finalement, j'allais bientôt partir, hein!!!

Alors, j'ai fait semblant de tomber dans le piège pour que nous buvions un coup ensemble un soir (je l'avais soi disant ignorée un jour où elle était passé au bureau et il me fallait m excuser) et puis j'ai "fait le boulot": œil pétillant, cheveux propre et brillants, plutôt beau gosse (parait il), j'ai fait ce que je sais le mieux faire: faire rêver. Parler de voyages, d'Afrique, d'aventures, de besoin d'évasion. Qqs confidences parce qu'il faut bien être un peu torturé. Qqs questions car, pour le coup ça semble être vrai, "être à l'écoute" est sans doute une de mes qualités. Et pour finir, rajouter que "non, plus jamais, la vie de couple, trop souffert bla bla bla" (et là, on sent le défi poindre dans leur cerveau).
Et puis comme on était là pour ça, ça l'a fait.
Nuit en solitaire (va savoir pourquoi elle a fait semblant de se refuser le soir même) mais dès le lendemain aprem, ce fut un festival!! Et des plus agréables (d'ailleurs je pense que j'en reprendrais bien un peu en rentrant)...

Pourtant, c sur, ce qui m'a le plus amusé et auquel j'ai pris le plus de plaisir, ct au jeu de la séduction (même si là ct un peu trop réciter un rôle et surtout gagné d'avance)

Mr Raphael (celui d'une vie rêvée), c bien ça le syndrome de Don Juan, non?

jeudi 15 juillet 2010

une autre forme de liberté

Se baigner en Saoudie! Quel pied! Non pas que la température soit meilleure (35°), non pas que le paysage soit très différent (je n'étais qu'à 10 km de mon lieu de baignade quotidien)...
Mais se baigner à poil, à 200m d'un poste des garde-cotes d'un pays où la police religieuse fait la loi et où, les femmes, même occidentales, doivent se couvrir de la tête au pied, n'ont pas le droit de conduire et doivent se déplacer toujours accompagnée, oui, vraiment, ça avait qqe chose de jouissif!

samedi 10 juillet 2010

c peut être ça le bonheur...

Une tente bédouine sur la plage, 35°, température de l'eau 33°, une chicha au bout des lèvres, la tête dans les étoiles, en train de discuter avec un pote de vieux souvenirs, je ne suis pas loin d'être le plus heureux des hommes (Ahgh p... de groupe électrogène qui fait un boucan d'enfer).
Évidemment, je pense à cette remarque de Petite Française et me demande si ce bonheur ne serait pas encore meilleur avec une femme... Mais je n'hésite pas plus de 10s! Non, je sais que si j'étais avec une de ces femmes dont j'ai été amoureux, je crois que je serais stressé, que je me demanderais si tout va bien, si elle est bien, si si si...Incapable d'apprécier simplement!
Sans doute pour ça que j'adore tant pouvoir être loin et penser à mes femmes restées en France.
Se détendre, apprécier une chicha dans le désert ou sur une terrasse, déguster un thé sur un toit du souq de Sanaa et penser à ses femmes, tranquillement, sans stress


Il n'y a sans doute qu'avec Mlle A que j'ai su apprécier simplement le plaisir d'être avec elle et de profiter de la vie...
Mais, un jour, je vous raconterai pour de vrai cette histoire...

mardi 6 juillet 2010

Boss...

Ici, c moi le patron... Je devrais donc faire comme le boss de mon sous traitant: ne sortir de mon bureau que pour aller en ville (à 200 bornes) ou pour des reunions avec les clients!
Pourtant, je préfère trainer dans les dunes avec mes collègues ou passer des heures autour de la foreuse à essayer de comprendre ce que se disent les employés du dit sous traitant dans un mélange d'arabe, d'ourdou et de philippin. Rajoutez à ça que dès que je peux, je me "déguise" en bédouin...et ça fait pas très sérieux!
Reste que j'adore ça, que le contact avec le client est super bon et avec les ouvriers plutôt bon aussi...Alors, merde aux donneurs de leçon

vendredi 2 juillet 2010

Pour faire suite au billet précédent et à la demande generale

qqs photos (et sinon, oui, Petite Française, il manque un truc: pas une paire de seins digne de ce nom à 150km à la ronde (et je ne parle pas de paire de seins abordable, juste de paire de seins))

dimanche 27 juin 2010

On est qd même mieux qu'à l'usine...

J'ai l impression d'avoir une vie super réglée ces jours ci:
debout 4h45
5h: footing le long de la plage (c le seul moment où il fait moins de 30°)
5h45: petit déj
6h30: démarrage du V8 pour un tour dans les dunes (des fois c le djebel)
10h-10h30: retour bureau
12h30: on met les pieds sous la table
13h30 sieste
15h00: bureau
16h00: petit tour sur le terrain (pas tous les jours)
18h00: plage, baignade au coucher du soleil, température de l'eau > 30°
19h30: à nouveau les pieds sous la table
à partir de 20h30:internet ou télé ou lecture

Très régulier tout ça donc...mais bizarrement je préfère ça à l'hiver gris parisien...

vendredi 25 juin 2010

Tricher

Je crois que je l'ai déjà écrit mais...je pense qu'on peut tricher quand on caresse , on peut tricher (un peu) qd on embrasse, on peut tricher(beaucoup) qd on fait l amour mais ... moi je peux pas tricher qd je fais un cunni!!!! Sois j'en ai envie, cad j'ai envie de découvrir l'autre et lui dire que je veux lui faire plaisir et alors c génial pour tout el monde (je crois), soit je ne suis là que pour prendre du plaisir, un peu égoistement, et ce n'est même pas la peine que j'essaye...

mardi 15 juin 2010

1er verre...

Hier soir, de passage à mon ancien boulot, on papotte, petite réunion boulot , on papotte à nouveau puis tiens on ouvre une bouteille..
Je prends un verre ...et là d'un coup ça me tombe dessus: un blues terrible, une envie de rien faire, de rien dire, de fuir, pas bien pas bien
Bizarre, très bizarre, envie d'insulter tout le monde et surtout de fuir, de courrir, de ne plus les voir...

C est la 2 ou 3eme fois que ça me le fait. A chaque fois, des gens, des lieux différents...mais toujours au 1er verre! (et pas envie d'en prendre d'autres dans la foulée). J aime pas ça!

dimanche 13 juin 2010

chiffons

je croyais que ct un truc de filles mais il faut bien reconnaitre que ça me touche aussi: qd je décide d'aller m'acheter des fringues, quel que soit le truc dont j ai besoin (genre des chaussures ou un pantalon), je reviens toujours avec des caleçons et des chemises!!! En un an je crois que j ai acheté plus de 20 chemises dont au moins 10 sont noires!!!!
C est grave, docteur?

samedi 12 juin 2010

envie d'une chatte

...une belle chatte, poilue mais à la fourrure bien taillée, pas excitée (pas encore), où les lèvres dépasseraient (mais pas encore rouge vermillon), à peine entrouvertes, un chatte au beau milieu de deux cuisses entrouvertes aussi, avenantes mais pas encore offertes...
une chatte accueillante sur laquelle je me pencherais, que je caresserais du dos de la main, dont je lisserais le poil, sur laquelle je ferais de tendres bisous, doucement, tendrement, pour ne pas réveiller la belle endormie qui ferait une telle offrande

mardi 8 juin 2010

De la constance....

Depuis qqs temps, pour des raisons professionnelles variées, j'ai été amené à rencontrer à nouveau qqs unes des filles dont j'ai été amoureux (que cela ait débouché ou nou, si j'ose dire)(eh oui je n ai jamais été très fort pour faire des rencontres en dehors de mon milieu professionnel).
A chaque fois, je me suis dit "Vraiment, je comprends pour quoi j'ai été amoureux d'elle...Et je pourrais sans doute le redevenir...."

dimanche 6 juin 2010

Histoire métisse

Ils se sont tournés autour pendant des mois. Et même s’ils n’ont plus 15 ans, c’est leur première vraie histoire d’amour. Alors, forcément, le premier geste est difficile. Si difficile qu’ils ont même failli renoncer, préférant se dire «ne nous parlons plus» quand dire «je t’aime» pour la 1ère fois était trop difficile. Finalement, «ça l’a fait», comme on dit à leur age. Mais le plus dur reste encore sans doute à faire car, pour elle, sa culture et sa religion, lui dictent d’arriver vierge au mariage. Elle en a bcp discuté avec d’autres, bcp réfléchi. Et pour elle ce n’est pas qu’une histoire de conventions, de «qu’en dira-t-on» ou de pressions familiales, mais aussi d’un choix ou en tous cas de qqe chose qu’elle ressent profondément et auquel elle est intrinsèquement attachée…son histoire en qqe sorte. En tous cas c’est comme ça qu’elle le ressent.
De son coté, il la vénère alors forcément ce choix là, il le respecte et il lui a dit tout de suite qu’il ne la brusquerait pas, qu’il la respecterait…
Et puis il voit bien qu’elle ne connaît pas grand-chose à l’affaire et lui faire découvrir son corps le lui faire aimer et lui faire accepter sa sensualité lui semblent déjà un programme alléchant… Et d’ailleurs, ça le rassure lui aussi, lui qui n’a, malgré ses presque 30 ans, quasi jamais connu de filles…

Ils sont donc un peu gauches lors de leurs premiers baisers, lors de leurs premiers effleurements. Pourtant au bout de qqs jours, il arrive à la convaincre de venir passer l’après midi chez lui. Oh bien sûr, il n’a pas d’objectif caché en tête ! Non ! Il voudrait jsute pouvoir lui embrasser un petit bout de sein (ne parlons même pas d’un téton). Partir en exploration de sa culotte lui semble impossible : n’a-t-il pas entendu des conversations où elle disait qu’elle trouvait le sexe « sale » et qu’elle ne comprenait pas que « qqn puisse un jour avoir envie de l’embrasser entre ses cuisses » ??? Mais, il est amoureux ! Et à cet age là…
D’ailleurs au bout de 2 samedis après midi sa gaucherie s’est bien estompée. En effet, malgré sa peur et sa timidité, elle s’est montrée beaucoup moins réticente que ce qu’il croyait, sa sensualité s’est très vite exprimée dans toute sa splendeur. Peut être est elle aussi amoureuse que lui, donc ? En tous cas, qu’elle est belle avec ses dessous en soie ou en dentelle blanche qui ressortent si bien sur sa belle peau noire, que ses seins lourds et généreux sont bons à caresser, à lécher, à mordiller !! Car, oui, non seulement elle l’a laissé faire mais en plus elle a l’air d’apprécier ses caresses. Et que dire de ce sexe lisse qu’il a pu effleurer ? En tous cas l’odeur qu’il en a retiré au bout des doigts l’ont non seulement rassuré mais aussi enchanté : non seulement elle a aussi envie que lui mais en plus elle a bon goût. Alors même si elle ne veut pas aller plus loin avant le mariage, il s’en fout : il veut juste pouvoir continuer à promener sa langue sur ce corps, sur ses plus petits recoins pendant des mois , des années s’il le faut.

Pour elle, la découverte est aussi fulgurante. Elle ne pensait pas qu’il serait aussi entreprenant au vu de son comportement des dernières semaines mais il faut croire que les hormones males ont fait leur œuvre. En tous cas elle ne va pas s’en plaindre ! Car il a su garder toute sa douceur et ce dont elle avait peur s’est révélé à chaque fois un plaisir de plus. Et à chaque instant, tous les jours, toute la journée, elle pense au prochain moment où ils pourront à nouveau n’être qu’eux, où il déshabillera (elle n’a pas encore réussi à lui laisser enlever son string mais elle sait que ce sera bientôt), où elle sentira son souffle sur sa peau, ses mains sur seins, où elle sentira cette chose si dure à travers son pantalon, cette chose qui lui fait encore si peur mais qu’elle vit maintenant aussi comme un fierté : « Il a envie d’elle ! wouhaou»

Mais aujourd’hui elle est stressée : elle sait bien qu’il aurait envie de plus et elle a bien vu que l’autre jour qd elle est partie, il n’était pas très bien. D’ailleurs il le lui a dit le lendemain : après ces heures à s’embrasser, à se caresser, à « bander » (rien que le mot lui fait peur), il a terriblement « mal aux testicules » (ce sont ses propres mots). An e plus pouvoir marcher. Il ne lui a pas dit comment il résolvait le pb mais elle préfère ne pas savoir. En tous cas, elle ne s’imagine pas lui demander !

Mais elle voudrait qd même faire vraiment qqe chose pour lui. Et puis elle a aussi envie de voir enfin à quoi il ressemble ce morceau de chair dont tout le monde parle, cette colonne de chair qu’elle n’ose même pas nommer mais qu’elle adore maintenant sentir contre ses fesses.
Mais comment faire ? comment vaincre la peur ? comment lui faire plaisir tout en respectant ses principes ?

samedi 5 juin 2010

rêve

Cette nuit, j ai rêvé d'une de mes anciennes amours. Elle était heureuse, resplendissante, bronzée, souriante, belle... et me disait "et si tu faisais comme moi, que tu profitais simplement de la vie, sans se soucier de ton image?" je la regardais, embarassé, sans savoir quoi répondre. Et je me suis réveillé...

jeudi 3 juin 2010

Souvenirs...

Une feuille de Sécu avec ces mots terribles "I.V.G",
...
Une amoureuse éclatant en sanglots au bout d'un quai, pour un retour qui aurait dû être heureux, parce qu'elle n'a pas eu ses règles comme prévu; une détresse absolue qqs mois plus tard quand la vie a quitté ce ventre...

...

Une amoureuse, une autre, plus tard, enceinte d'un autre et qui vous accuse d'un "je sais que tu le détestes et le refuse ce ventre" parce qu'on ne l'a pas regardé de toute la conversation, parce que l'on n'a pas fait preuve d'un moindre signe d'affection, parce que l'on n'a pas posé une question sur ce "bidon" pourtant omniprésent... La même, à des milliers de km, en pleine détresse car on lui a enlevé ce bout d'homme, malade, qqs jours avant qu'il ne naisse. Elle, impossible à joindre, se coupant du monde...


Il est des souvenirs qui, décidément, ne s'effacent jamais....

lundi 31 mai 2010

Samedi au Sex Shop

Il a eu du mal à la convaincre de rentrer dans ce Sex Shop proche de l'Avenue Alsace Lorraine mais pourtant en ce samedi après midi elle a fini par accepter...
Oh ce n est pas qu'elle n y soit jamais venue mais 1)un samedi après midi c trop voyant qd on a un métier public et exposé dans une petite ville de province et 2)ça elle n'avait pas envie de lui raconter!
M'enfin, peu importe, les voilà tous les deux dans ce magasin, un peu vulgaire il faut bien le dire! Mais après tout ce n'est pas grave, au contraire!
C'est bien une certaine vulgarité, loin de tout érotisme brulant et raffiné qu'ils sont venus chercher ici. Objectif, une culotte fendue ou plutôt une culotte trouée!
Comme toujours qd elle est avec lui, elle ne porte rien sous sa jupe et elle profite ainsi d'un peu d'air sous la chaleur étouffante de cette ville-cuvette. D'ailleurs la chaleur augmente encore d'un cran dès qu'ils poussent les lourds rideaux: elle ne peut pas s'en empêcher: la vue de ces beaux godes dans les vitrines la font mouiller terriblement (même si ce qui la fait le plus mouiller depuis 2 jours, c qu'il soit là à coté d'elle et qu'il passe son temps à lui chuchoter des mots torrides à l'oreille)
Ils examinent qqs modèles mais très vite son choix à lui se porte sur ce modèle transparent rouge orange criard. Vraiment pas raffinée mais ce soir il veut en faire son objet, sa petite salope, alors ça ira très bien!
Elle ne dit pas non, d'ailleurs elle veut surtout que ça aille vite, très vite, elle ne se sent pas bien dans cet endroit. Alors, qu'il choisisse et qu'on s'en aille! Et qu'on retourne sous la couette. Mais non le voilà pris d'une nouvelle lubie: il veut qu'elle l'essaye ici! Elle proteste!
Mais qd elle l'entend demander au patron, un chinois muet comme une carpe mais au regard vicieux, si elle peut essayer pour qu'il donne son avis, elle sait qu'elle ne pourra pas résister...

Alors elle soulève un peu la jupe, passe une jambe après l'autre, l'ajuste sans la montrer et sent déjà le regard égrillard du chinois qd il comprend qu'elle n'a pas eu besoin de quitter quoi que ce soit puisqu'elle n'avait rien.
"ca me va nickel, dit elle toute fière en l ajustant (et en sentant sous ses doigts son entrecuisse encore plus trempée que tout à l heure. Elle a l impression que ça coule long de ses cuisses...) Mais son homme insiste: il veut voir! Elle soulève doucement la jupe....Mais il veut plus!
Il la fait se tourner complètement,se pencher en avant et remonter le cul! Qd elle écarte les cuisses, le spectacle est fascinant: deux belles cuisses musclées et galbées de sportive, et au milieu se détache un énorme fruit brillant luisant rouge vermillon au milieu d'un ensemble rouge orange qui fait encore plus ressortir le fruit en en écartant les pétales. Divin!
Il meut d'envie de s'agenouiller et de lécher , de mordre à pleine dent, de la faire jouir. Mais il a vu que le patron lui aussi voudrait voir. Et malgré la honte qu'elle ressent, il lui demande de tourner sur elle même et d'offrir ses fesses à la glace qui se trouve dans ce semblant de cabine d'essayage où le patron les a rejoint. Elle hésite...puis finalement se prête au jeu car un soudaine envie d'exhibition la prend elle aussi.
Puisque cela les excite tous ces salauds, elle va jouer avec eux. Elle se tourne et se penche alors encore un peu plus, se cambre, sent les deux parts de la culotte s'écarter encore un peu plus, enserrer ses grades lèvres. Là elle en est sûre: ce minuscule bout de tissu doit tout cacher sauf le centre de son sexe gonflé de désir et de mouille.
Elle en peut tellement plus que qd elle lève la tête et voit les yeux exorbités de son homme en train de mater son cul dans la glace et dire au vendeur "il est beau hein, il est beau", à son tour elle est prise de folie, déboutonne le jean en un tour de main et avale d'un coup le sexe de son homme.
"Mon Dieu que c bon" hurle t il pendant qu'elle soupire un "enfin!". Quant au vendeur, il n'en peut plus et voir un sexe offert alors que les 2 autres sont bien partis pour s'amuser le rend dingue. Il tire un peu plus le rideau de la cabine d'essayage, se débraguette et commence à se masturber, profitant à plein du spectacle .
Mais alors qu'il sent qu'il va venir, il glisse un regard interrogateur vers ce brun qui se fait sucer et reçoit en retour et contre toute attente un signe d'approbation. Il n'hésite plus, enfile une capote et s'enfonce avec vigueur vers ce sexe qui le nargue depuis tout à l'heure. "C'est doux, c est chaud, ça vibre", voilà ce qu'il se dit en visitant ce sexe accueillant. Mais c aussi ce que ce dit le jeune homme brun en pensant à la bouche qui le pompe...
Et c aussi ce que se dit la respectée donzelle en pensant d'une part à ce membre qu'elle suce depuis tout à l'heure et aussi à qu'elle ressent dans son ventre. D'ailleurs d'où sort il? le vendeur? il n aurait pas oser! un Gode? Bien trop chaud? Vraiment elle ne sait pas...mais après tout elle s'en fout! D'ailleurs ce qu'elle veut c jouir là, tout de suite, maintenant!
Ce qui arrive, assez vite d'ailleurs, sous les jets de foutre de son amant régulier qui l'asperge enfin de semence (des mois qu'elle l'attendait cette sensation de sperme dans la bouche et sur la figure)...

Elle expulse alors très vite le vendeur (tant pis pour lui après tout), paye cette culotte et, sortant à vive allure du magasin, assène au beau brun qui l'a emmené là et qui semble pourtant épuisé: "viens vite, courons donc sous la couette allons donc l'étrenner sérieusement cette culotte"

et dire qu'elle avait hésité...

dimanche 30 mai 2010

Marre d'être celibataire!

...de rentrer bourrer ce soir
... d'avoir rien fait de mon WE
... d'avoir pour seule perspective des missions avec des vieux mal rasés à l'autre bout du monde
... de pas recevoir un coup de fil sur mon tel
...
...
...
d"etre une vieux con déjà à meme pas 40 ans... ça va etre long!

samedi 29 mai 2010

Nomade

(photo non contractuelle)


Liberté...

Se lever chaque matin sans se demander où on va dormir mais sans le savoir non plus. Juste l'intégrer parmi les choses à faire, comme aller faire ses courses ou trouver qqe chose à manger. Bien sûr, avoir un endroit quelque part dans le monde, un chez soi, un refuge, un lieu auquel on peut penser, un lieu où l'on sait que l'on peut aller en cas de cas, mais c'est tout  ...

Avoir un lieu aussi (pas forcément le même d'ailleurs) duquel on puisse se réclamer; non pas qu'être d'ici ou d'ailleurs  nous préserve de quoi que ce soit ("con d'ici ou con d'ailleurs, qd on est con on est con" ) mais simplement, comme un identité, pour dire un peu qui on est, parce que notre Histoire, celle des lieux où l'on a vécu, où on a été éduqué, c'est aussi un peu de nous (je serai toujours un paysan huguenot cévenol).

Mais au quotidien! Être libre, libre, libre. Pas embarrassé par cette maison à entretenir, pas enchaîné par cette déco que l'on fait une fois et qu'on ne change plus pendant 30 ans, par ces cartons à faire, déplacer, replacer, par ces déménagements qui deviennent si difficiles qu'on est prêt à toutes les compromissions pour les éviter...

                 Mais au contraire, découvrir tous les jours un nouveau monde, de nouveaux gens, vivre de nouvelles aventures, n'être retenu que par les sentiments et attaché aux les souvenirs. Savoir que chaque instant est unique et le vivre comme tel. Avoir toujours sur soi le minimum et se rendre compte que ce n'est pas grand chose. Se sentir libre, léger...

Tout petit, mes parents m'avaient expliqué (nous n'étions pas encore trop loin de 68 et les road movies étaient à la mode...) que ces gens que 'on voyait dans la rue n'étaient pas des clochards (le mot SDF n existait pas encore) mais des vagabonds, que certains ne voulaient pas de maison et que même si la plupart étaient malheureux certains avaient aussi fait ce choix là...Innocent, je les enviais...

Puis, devant les gitans sédentarisés du village, je ne comprenais pas qu'ils ne reprennent pas les caravanes et la route. Et ceux dont je ne voyais les enfants que qqe jours à l'école communale me fascinaient, lors de leurs passages furtifs.

Et comme nos vacances étaient toujours caravanesques et itinérantes à travers la France et l'Europe, le "voyage", l'itinérance, le nomadisme sont vite devenus pour moi le "rêve". Ce "que je voualis faire qd je serai grand?" "Gens du Voyage! Romanichel"

Alors quand j'ai grandi, je me suis réinventé une histoire: puisque certains de mes aïeux étaient d'Arles ou d'Albaron, j'avais du sang gitan. Et puisque mon look, ma voix, mon accent, s'y prêtaient, c devenu l'image que j'ai essayé d'exporter: le "gitan"! Pseudo, musique, légende sur moi même, tout y est passé...

Et puis j'ai arrêté de me mentir: même si les maisons je les préfère qd elles changent tous les 6 mois, je ne suis pas un gitan!

Reste qu'au bout de qqs mois au Yemen on m'appelait le "bédouin blanc" et qu'aujourd'hui, planté à Paris depuis un an (malgré qqs courtes missions), je crie, je hurle, j'appelle: EMMENEZ MOI!

mercredi 26 mai 2010

j'ai oublié son prénom...

La voir arriver depuis le bout du quai, esquisser un sourire mais le retenir sans savoir si je l'ai vue, croiser son regard et le voir briller de milles éclats, apprécier son sourire qui s'abandonne enfin, la voir s'approcher encore, laisser tomber son sac, se suspendre à mon cou et m'embrasser tendrement de doux baisers dans le cou. La serrer à l'en faire étouffer. Voir ses lèvres se détacher et se poser sur les miennes. N'être plus qu'un, n'être plus que ces lèvres unies, étrangers au monde qui nous entoure, loin de cette gare, sourds au monde extérieure. Sentir encore ses douces lèvres me caresser, les miennes s'entrouvrir, sentir sa langue pointer contre la mienne, se poser langue contre langue, doucement, tendrement, suavement, se suçoter un petit peu du bout de la langue.
Se décoller, s'éloigner de quelques cm, prendre son sac, faire qqs mètres, marcher, enlacés et l'entendre dire, seuls au monde, dans cette gare bondée, "je t'aime, tu sais". Sourire, heureux et continuer à avancer, béats...
...
...
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J'ai aussi oublié son visage...

dimanche 16 mai 2010

C'etait bien...

je vous ai pas raconté mais...fin Avril, je suis enfin reparti dans le désert! Oh, pas longtemps! Une grosse semaine tout juste... Mais tout y était: le désert, les dunes, la mer, les copains, le boulot (qui donnait une vraie raison d'être là), le soleil, les nuits à la belle étoile et les 4x4 puissants et utiles (pas des bagnoles de ville)!



Oui, vraiment, c'était bien!

vendredi 14 mai 2010

Ecrire...

C est le billet cette chère Effrontée, , qui m'y a fait penser mais ce blog m'aura donné de plus en plus envie d'écrire.... ailleurs...autrement. Je prends, à nouveau, de plus en plus un vrai plaisir à écrire, à chercher mes mots. Au départ, c'était pour publier ici mais plus ça va, plus le format du blog ne me convient pas. J'ai envie d'écrire des histoires longues avec, peut être, parfois, des épisodes, etc... Et de plus en plus envie de ne mettre sur ce blog que des billets d'humeur très très courts un peu à l'image de ce que fait Sophie (mais je n'ai pas son talent pour illustrer, à mon tour, mes propos). On verra bien...Mais, plume en main, je passe de plus en plus de temps à gratter des pages...et ça me fait du bien!

mercredi 12 mai 2010

envies...


Envie de baiser toute la journée... et puis là, en trainant de blog en blog, je suis tombé sur cette photo, chez psganarel (alias les humeurs du valet),


et alors, soudain... , ça m''est tombé dessus comme un coup de massue: j'ai eu envie de faire l'Amour...


Allez donc comprendre qqe chose à la psychologie masculine!

lundi 10 mai 2010

Blog et pudeur

Le billet "Mamans" que j'ai écrit il y a qqs jours, ne concernait pas que moi mais aussi ces filles que j'ai aimées, que, pour le moins, je respecte toujours; ces  "Mamans" qui n'ont pas forcément envie que leur vie, aussi passée soit elle, s'étale sur la blogosphère... Alors, même si leurs noms n'étaient pas cités, j'ai retiré ce billet et les prie toutes les 3 de bien vouloir m'excuser de cet mise en lumière qu'elles ne souhaitaient sans doute pas.
Quant à nos éventuelles connaissances communes qui auraient reconnues l'une ou l'autre de ces 3 personnes, je  leur serais vraiment reconnaissant de ne pas faire part de ce qui était écrit dans ce billet.
Après tout, tout ceci ne regarde qu'elles et moi...
Merci

mardi 20 avril 2010

Tout va bien...

Si l'on considère que
penser au boulot plus de 15heures par jour est normal,
que n'avoir des relations que professionnelles (ou presque) est normal
et que ne pas savoir tenir une conversation non professionnelle n'est pas une tare...

alors,

tout va bien

samedi 17 avril 2010

modestie...

Pendant des années, le soir, avant de m'endormir, alors que je partageais ma chambre avec mon frère, je pensais que je devais bien travailler pour ne pas décevoir mes parents... Mais pas ceux avec qui je vivais, non! Non, non! Il était évident que j'étais le fils d'un roi et qu'il m'avait confié à ceux qui étaient mes parents quotidiens! Ce n'était pas possible autrement... Reste qu'en tant que fils de roi, forcément, j'avais des obligations...


Je me souviens plus qd c que j ai arrêté de penser ça ;-)

Principe de précaution...

... Ca devient vraiment n'importe quoi!!!
Je veux bien croire que ce très cher volcan islandais émette des cendres qui soient dangereuses pour les avions...
Mais qd je vois des avions voler en Irlande et qu'on me dit qu'on peut pas décoller vers le Qatar, je dis que c vraiment n'importe quoi! Et s'il émet pdt 10 ans, on arrête les avions? La connerie de la vaccination anti grippe H1N1 n'a donc pas suffi?
Devra t on un jour s'empêcher de sortir dans la rue parce qu'un chien s'est laissé aller à l'autre bout de la ville?
Oui le risque "zéro" n'existe pas. Il serait temps de s'en souvenir!

lundi 12 avril 2010

Papa

Comme indiqué dans un billet précédent, de temps en temps, l'envie, que j'essaie d'enfouir pourtant, d'un enfant revient à la surface.
Cette envie d'être papa n'est pas hormonale ou lié au printemps comme me le suggérait malicieusement Charl'. C'est une envie qui existe depuis longtemps, qui a évolué, bien sûr. Pendant longtemps, cela me semblait juste naturel, inséparable d'un développement, d'un épanouissement. Je ne m'imaginais pas avoir 25 ans sans enfant... Et puis la vie en a décidé autrement, m'apportant d'autres joies, d'autres épanouissements d'autres découvertes.
Le temps passant, ma relation au couple, aux paternités possibles s'est compliquée, chaque jour plus tortueuse, toujours plus chargée de souvenirs douloureux et d'épreuves traversées. Alors, un jour, j'ai décidé que c'était fini, que je ne serais jamais papa. Et j'ai fait une croix sur ce don, sur ce que j'imagine être un amour absolu. J'ai fait une croix sur l'idée de donner la vie et d'avoir cette marmaille dont j'avais rêvée, sur le rêve de tenir un bébé dans mes bras. Surtout, j'ai fait une croix sur ce geste d'amour absolu (envers sa partenaire, envers ce nouvel être) que me semblait être le fait de donner la vie.


Et puis ces jours ci, un jour de moins bien, un jour où j'étais plus très à l'aise, un peu perdu, j'ai soudain eu envie d'un petit "enfant gâté" miniature. Il ne s'agit plus d'envie d'amour à donner mais plutôt d'envie de voir évoluer un être qui me ressemble et que je serais enfin capable de comprendre , à défaut de me comprendre moi même. UN être qui m'apprendrait qui je suis, en qqe sorte...
Bien sûr, sans doute cela est il tout à fait utopique, car un être, par définition, vit sa vie, unique avec son histoire et je sais bien qu'il en serait aps question pour moi non plus d'en faire un clone ni même ce que je n'ai pas su être.
Bien sûr, surtout, cette conception de la paternité est à des lieux de ce que j'ai appris, de ce que j'ai moi même proclamé pendant des années. C'est du pur égoïsme alors que donner la vie me semble être le don absolu, un immense cadeau...

Reste qu'à l'aube de mes 40 ans voilà où j'en suis...









(ps: Charl a peut être raison qd elle parle, ici, des affirmations masculines au sujet de la paternité)

vendredi 9 avril 2010

larmes

Je suis entré dans l'avion quasiment le premier. Je me suis installé. ET alors que l'avion se remplissait, j'ai ouvert mon livre. Au bout d'une demi-page, j'ai senti mes yeux se gonfler. A la 2ème page, je pleurais (le plus discrètement possible pour pas déranger mon voisin) et ça a duré jusqu'à la 20ème page...On a décollé. J'ai repris le bouquin. et j'ai pleuré toutes les 20 pages jusqu'à notre atterrissage, bouquin tout juste fini. Le pire, c que ct même pas un bouquin triste. Au contraire... Ct un bouquin de Noelle Chatelet qui raconte la joie d'être grand mère et tout ce que cela déclenche en elle comme souvenirs, découvertes, réminiscences et même renaissance...

mercredi 7 avril 2010

Impressions venues de l Est

La première mesure de salubrité publique, de façon bien indépendante des scandales éclaboussant l’église catholique actuellement, devrait être d’interdire l’accès voire même l’approche par tout enfant de toute institution religieuse qui soit, qu’il s’agisse d’église, de synagogue, de mosquée ou d’école religieuse, tant qu’il n’est pas en mesure d’en avoir uen perception critique. De même sur le fronton de tous nos bâtiments religieux devrait être écrit un avertissement " Attention, ce qui va vous être dit relève de la croyance pure.La Vérité, elle, n’habite pas cette maison"

Ce billet est un peu différent de ce que j'écris d'habitude mais 3 jours à Kiev me font sortir de mes gonds...Il est clair que l'un des plus patents échecs du socialisme soviétique est sans aucun doute de ne pas avoir su éradiquer toute forme de croyance religieuse

dimanche 4 avril 2010

exotisme?

accoudé, seul, au comptoir d'un bar branché de Kiev, terriblement seul même si entouré (de loin) d'étudiantes souriantes, sexy, mignonnes, blondes et visiblement heureuses, je me dis qu'il serait peut être qd même temps d'arrêter ces c...ies!
Sauf que cette nuit, j'ai rêvé de désert, de missions de terrain, de 4x4...d'évasion quoi...

mardi 30 mars 2010

contrairement à ce qu'on pourrait penser...

... ce qui me manque c pas d'une compagne avec qui vivre ou poser une épaule...mais juste une oreille à appeler qd je quis en mission au fin fond du trou du c..de l Europe de l'Est!

dimanche 21 mars 2010

en fait en fait...

...je crois que j aimerais être papa.........

jeudi 18 mars 2010

Qui suis je?

... Ca fait 20 ans que je me pose cette question...et ca n en finit pas de durer...serait temps que j'y réponde une bonne fois pour toute qd meme, j ai plus 20 ans, justement...

lundi 15 mars 2010

Le risque

écrit avant le 18 février

 
c qd même de s'attacher juste parce qu'elle vous prend dans ses bras et vous envoie des messages....

Mon Dieu que nous sommes faibles!


la seule solution semble donc bien d'avoir plusieurs sources de messages, de baisers et de bras

vendredi 12 mars 2010

ca se confirme...

écrit début Février


Comme promis, elle m'attend à la gare. A quelques détails près (il fait vraiment froid), le scénario se déroule comme prévu: bas, nue sous la robe. C'est parfait.
Je n'ose pas la retourner et la prendre contre la porte dès notre arrivée. Pourtant, je sais qu'elle a envie de domination, qu'elle a envie que je mène la danse. Mais même si je suis là, je ne fais que suivre, mécaniquement. C'est bien, c'est bon, mais mon esprit bloque. Pas ailleurs, non! Plutôt stressé, plutôt obnubilé par le "qu'est ce que je dois faire?", "Que veut elle?", "Qu'est ce que je veux, moi?" "Sur quoi, ai je fantasmé avant de venir?". Peur aussi. Peur de ne pas y arriver. Peur de ne pas bander, peur de ne pas lui donner autant de plaisir que sa compagne, peur de ne pas arriver à jouir. Finalement, les choses se passent. Bien. Bonnes. On y trouve du plaisir tous les deux. Sans que pour autant ce soit un feu d'artifices...
Et puis nous parlons, je m'abandonne, peu à peu, dans ses bras. Et j'ai soudain envie d'effleurer sa peau du bout des lèvres. Elle vient de me dire qu'elle est "casée", ce que je sais pourtant depuis longtemps, mais je me sens libéré. Et si je l'embrassais? juste parce que c'est bon de sentir des peaux se frotter. Et si j 'acceptais de me dire que l'embrasser ne veut pas dire "je t'aime"?  Et si je l'embrassais en éteignant le cerveau et en n'écoutant que mon corps?

Comme dans un ballet tendre et doux de langues et de peaux, de dents et de seins, de doigts, de mains... C'est doux, c'est agréable, c'est bon! Je descends peu à peu vers son sexe et pour la première fois depuis que nous couchons ensemble, j'ai envie d'embrasser vraiment ce sexe et d'y prendre du plaisir, j'ai envie, enfin, de le découvrir! Pour la première fois, surtout, j'arrête de me dire que de toute façon c'est peine perdue et que puisque les filles font ça bcp mieux que les mecs, je n'arriverai jamais à  la cheville de ce que lui offre sa compagne. Mais, non! cette fois-ci, j'ai envie d'en profiter, j'ai envie de lui en faire profiter, j'ai envie de découvrir, d'explorer, de savoir à quoi il ressemble, quel goût il a . J'ai envie que pendant quelques instants, il n'y ait plus au monde que ce sexe, ses lèvres, ce petit bouton encapuchonné, et ma langue, mes papilles et mon nez...
Et le miracle se produit: la voilà qui réagit, qui bouge, qui ondule, qui halète et qui soudain dans un gémissement me demande de venir en elle...
Et même si on a vu bandaison plus virile (c est le moins qu'on puisse dire), je la pénètre. Quelques timides AR et la voilà qui jouit, en pleurant...

Décidément, oui, pour bien faire l'amour, faut éteindre son cerveau

mercredi 10 mars 2010

je hais Annecy...

écrit début février


...même si je n'y ai jamais mis les pieds!

dimanche 7 mars 2010

Nuit alpine (retrouvailles III)

écrité début Février



Depuis nos premières retrouvailles, il y a qqs mois, il y a eu ce rendez vous manqué à Noel, puis qqs échanges de méls et de sms érotiques. Visiblement le désir est là. Mais ça nous allons le savoir tout à l'heure dans cette gare alpine où elle doit m'attendre pour une nuit unique...

Le TGV s'immobilise: elle est là, comme prévu; en jupe, comme prévu. Ses jambes sont magnifiques et penser à ce qui m'attend fait dresser mon sexe que j'ai gardé libre sous mon jean. Descente du train, bisous dans le cou, je traîne, je n'ai pas envie de parler mais je veux être le dernier à emprunter le passage souterrain... Nous descendons les escaliers. En bas, je me retourne: nous sommes bien les derniers, je l attrape par derrière, la serre dans mes bras, l'embrasse à nouveau dans le cou, me frotte contre ses fesses. Elle se laisse faire mais lorsque j'essaie de passer ma main sous sa jupe pour voir si elle a fait selon mes instructions, elle se débat, s'échappe..;"Non pas là, pas maintenant!" J'enrage!

Direction le tram. Elle s'assied en face de moi, un peu plu loin et profitant de la faible affluence en cette heure tardive, elle commence le grand jeu: je croise, je décroise, j'écarte, je remonte un peu plus ma jupe... Et j'ai la réponse à ma question: elle a effectivement suivi mes exigences: bas et pas de culotte! Apercevoir sa blonde toison dans ce tram me rend fou! Mais je me dois de rester calme, coi, et de simplement profiter du spectacle. Mon sang bout mais je me retiens de me lever et de glisser ma main dans la jupe... Allez, plus que qqs minutes! Enfin arrivés! Nous montons les étages, elle devant! Le spectacle est sublime et savoir qu'il n'y a rien d’autre sous cette jupe, whouahou! Ce coup-ci c'en est trop et sur le palier, alors qu'elle glisse la clé dans la serrure, je laisse tomber mon sac, soulève la jupe des deux mains et glisse mon pouce entre ses cuisses...

Surprise, elle pousse un timide "attend, si les voisins..." En même temps, pourtant, elle tend son cul et écarte les jambes... Le gras de mon pouce masse maintenant avec douceur ses lèvres qui s'ouvrent. Mais je ne veux la pénétrer ni avec mon pouce ni avec mon sexe qui pourtant s'impatiente. Pas maintenant! Caresses, caresses... Mon pouce explore toutes ses pétales, tous ses replis, doucement, tendrement, longuement, pendant qu'elle ondule et gémit ... Et au moment précis où mon doigt pénètre ce fruit mûr et où elle pousse un ahanement de plaisir, nous entendons le "clac" de la porte du dessus: le voisin! Je retire mon pouce, elle finit d’ouvrir la porte, je pousse mon sac à l'intérieur... Et alors qu'elle se retourne pour fermer la porte la jupe relevée à la taille, je la pénètre profondément avec mon sexe enfin libre!!!


La suite de cette nuit torride? Demain, peut-être, si vous êtes sages... Non mais!!!!