mais c qui cet enfant gaté

certains me décrivent comme "branleur", d'autres comme "sensible derrière la carapace". En tous cas, ici, s'exprimera un petit bout de moi: celui des souffrances, des fantasmes et des envies

dimanche 27 décembre 2009

sodomie...

...je ne donnerai pas ici de leçon, ni ne vais -désolé pour certaines lecteurs arrivés sans doute via un un moteur de recherche- faire un récit érotique sur cette pratique. Je voudrais simplement dire que cela reste sans doute parmi les moments les plus intenses sexuellement et amoureusement que j'ai vécu. Pas tellement par la sensation physique (quoique  ;-) ) mais surtout par le don de soi qu'il représente, par son symbolisme très fort du "je te prends-tu te donnes", par son coté "violence acceptée". J'avoue, il ne peut y avoir, pour moi, de réelle sodomie sans une sorte de violence, de force, (ce qui n'empêche pas la douceur). Forcer l anus d'une femme n est pas une caresse. Pour autant, bien sûr, cela ne veut pas dire lui faire mal: le but est qd même avant tout, qu'elle y prenne aussi du plaisir...
Mais une fois le moment de la pénétration -difficile- (et qui n'a plus du coup le coté magique de la pénétration vaginale qui est lui une vraie délivrance, un vrai dialogue) passé, quelle énorme sensation de n'être plus qu'un, de se sentir accueillir, de la sentir s'ouvrir au maximum pour que tu puisses la prendre, de la sentir s'abandonner, de lui donner tout, de sentir qu'elle te dit qu'elle t'appartient et de lui montrer qu'elle peut te faire confiance, qu'elle peut se donner et que tu vas la prendre, l'accepter, la faire tienne....
Alors, si je peux me permettre, je voudrais simplement dire que pour encore mieux profiter de cette fusion là, la position qui m'a laissé les plus merveilleux souvenirs, c ma donzelle allongée sur le ventre,se cambrant juste un peu pour m accueillir, moi par dessus, la pénétrant analement et l'écrasant contre le matelas en la serrant très fort dans mes bras, sans plus bouger... simplement un seul corps, prêt à tout affronter, fort, uni, unique...
Décidément des souvenirs d'Amour extraordinaires...

lundi 21 décembre 2009

ça a commencé par un frisson dans le dos...

...puis très vite une larme a coulé de mon oeil gauche et qqs minutes plus tard je m'abandonnais aux émotions, sanglotant par à coups, riant, passant de la tristesse au rire en quelques instants...
Et tout ça pour une dame...
Et quelle dame!!!! Elle s'appelle Francesca Solleville, elle chante Ferrat, Leprest, Aragon et tous les noms de la chanson française depuis 50 ans; Truffaut disait d'elle "quand une femme chante honnêtement, cela est plus beau que n'importe quoi"
Et, comme d'habitude, c'était génial, fort, prenant...
Merci Madame!

dimanche 20 décembre 2009

envie de dire "je t aime"

...une terrible envie qui me prend ces jours ci! Envie de sortir dans la rue et de crier des "je t aime", "ti amo", "te quiero", "j ai envie de toi", enfin des trucs comme ça. Une envie de prendre qqn (n importe qui) dans mes bras et de serrer très très fort...
...mais je me retiens: parait que ca se fait pas...
(et puis chaque fois que j'y pense c toujours la même image, le même visage qui revient, et le sms qui va avec: "so am I. mais te souviens tu de la phrase précédente?")

vendredi 11 décembre 2009

18 ans...

(ou presque)

c l'age qu'elle pourrait avoir, cette petite Margaux que, sans me le dire (mais lui avais je vraiment laissé le choix, lui avais je vraiment montré que j'étais capable d'assumer?), C. avait décidé de ne pas garder...
Drôle de sensation que de se dire qu'on pourrait être Papa d'une fille ou d'un fils de 17 ou 18 ans.

mardi 8 décembre 2009

déjeuner...presque hot

j'ai déjeuné avec une amie qui m'avait dit il y a qqs temps qu'à chacun de nos déjeuners communs, elle passait son repas à m'imaginer dans son lit. Alors je m'étais dit que j'allais passer le repas à lui demander ce qu'elle imaginait, à lui raconter que moi je n'avais pas envie de coucher avec elle mais simplement de la regarder se caresser et de m'en aller. Je m'étais dit que ce serait assez excitant de parler de sexe das cette brasserie où nous avons presque nos habitudes. J'imaginais les vieilles bourgeoises se retourner en nous en tendant. Je l'imaginais me raconter qqs fantasmes ou aventures qu'elle raconte parfois sur le net.
Je m'étais même imaginé, si c'était vraiment chaud, la caresser du bout du pied sous la table...
Mais rien...pas réussi à trouver le moyen de rentrer dans ce genre de conversation, pas vraiment d'envie d'ailleurs non plus...(va comprendre qqe chose à la libido toi!)
Du coup, après le repas on est retourné chacun au boulot, en se faisant la bise ;-)

samedi 5 décembre 2009

retrouvailles II

Elle m'a donné rendez vous dans ce bois qu'elle connaissait si bien dans notre enfance et où je n'ai pas mis les pieds depuis 20 ans... Mais cette fois ci "nous n'allons pas jouer aux mêmes jeux!" m'a-t-elle avertie.
Comme prévu, elle est bien là, près de ce grand pin, juste derrière la statue de la vierge... Dès qu'elle m'aperçoit, elle se retourne, pose sa tête entre ses bras le long du tronc et se cambre légèrement, tendant ses fesses et sa longue robe claire au travers de laquelle le soleil joue avec l'ombre des ses jambes. Je m'approche doucement, m'agenouille, excité par ce que je vais trouver. Je remonte le bas de sa robe jusqu'à sa taille et ce que je vois m'enchante. Comme annoncé, elle est nue. Sans doute excitée par le contact direct du tissu sur ses fesses et, peut être, par mon arrivée prochaine, elle me semble un peu nerveuse, les nerfs à fleur de peau. Je passe tendrement ma main entre ses cuisses pour atteindre son pubis et sa toison et la ramène bien à plat vers l'arrière: oui elle est physiquement terriblement excitée. Je me penche encore un peu plus, approche mon visage de ses fesses autant que ce qu'elle se cambre et approche son sexe de mon visage à son tour. Ses lèvres sont terriblement gonflées, rouge carmin, pleines de sang, écarlates et terriblement luisantes... Ce n'est plus un sexe mais un fruit aussi brillant et gonflé qu'un kaki bien mûr que l'on aurait entrouvert d'un simple coût de lame. Je meurs d'envie de le déguster, de le gouter, de le lécher, de me l'approprier du bout de la langue mais à peine j'approche un peu plus mon visage de ce fruit si appétissant, elle proteste , de la voix et des fesses. Tout juste si je peux faire un petit bisou du bout des lèvres sur ses lèvres si gonflées. J'ai compris: je me redresse, entrouvre mon pantalon, fais jaillir mon sexe de mon boxer et m approche à nouveau de ses fesses. Ce coup ci, pas de protestation... Au contraire, elle se cambre encore plus, tend ses fesses, ouvre son sexe. Je continue mon approche et puis m'enfonce doucement mais fermement, directement, sans à coup mais sans arrêt, jusqu'au fond, jusqu'à sentir mon ventre contre ses fesses, mes couilles contre ses lèvres. Elle soupire enfin, "OUI", "Accroche toi", "Viens, encore". Et comme je voudrais profiter et me reposer, elle insiste, se penche encore plus en avant, se cambre encore et se met à faire des aller-retour avec ses fesses. Je n'ai plus le choix: ce coup ci il me faut la pistonner, de plus en plus fort, de plus en plus vite, accroché à ses hanches, au rythme de ses encouragements, de ses cris.
Je sais qu'elle voudrait que je jouisse en elle, mais ça elle ne l'aura pas: je me retire au dernier moment et jouis longuement entre ses fesses, massant doucement sa petite rondelle de ma semence

lundi 30 novembre 2009

dans ma valise...

Comme un joli papillon me demandait sur ce blog de l'emmener sur la route avec moi dans ma valise, c l occasion de préciser ce que j'emmène (ou pas) dans ma valise...

Voyager... Voyager c pour moi, aller découvrir, aller rencontrer (même si je suis super timide), aller explorer, un ailleurs, un autre monde, une autre histoire, une autre civilisation...
Et la seule façon que j'ai trouvé c d'essayer de plonger, de m'y faire accepter, de ne pas être un spectateur qui va au cirque ou au cinéma mais d'y être acteur. Alors pour ça, j'y vais nu...ou plutôt pas tout à fait, car nous ne sommes jamais nus, car qd nous rencontrons l'autre, quel qu'il soit, notre histoire est là, notre image aussi. Où que nous soyons, nous ne sommes pas que nous, mais aussi toute l'image du "blanc", du "riche", etc... Reste que j'essaie d'exister le plus possible comme individu d'une part et, d'autre part, d'avoir le moins d'éléments "parasites" entre ce lieu, ce peuple, ces gens que je découvre, que je visite et moi.
Cela est non seulement difficile mais de plus totalement vain. Reste que pour ne pas moi même avoir la tentation de me replier dans mon cocon, j essaie d'emmener le moins de chose possible. Cela veut dire le moins de choses matérielles: petit sac, peu d'habits (après tout, y a souvent des choses sur place), pas d'appareil photo (en tous cas, sorti que dans des cas précis)...
Cela veut aussi dire souvent partir seul.
Comme on a qd meme besoin de ce cocon, de cet endroit où l'on est seul, où, surtout, l'on est soi, le refuge est alors le carnet, le carnet où l'on écrit pour soi, pour l'autre que l'on a laissé, loin...

C aussi, pour moi, un moyen à la fois de faire le point sur ce que je ressens pour celui que j'ai laissé (qd mes pensées s'envolent elles? pour raconter quoi? comment?, etc) et d'autre part m'obliger à découvrir, à se poser des questions, à aller au delà de l'image du premier abord car écrire c aussi faire une première analyse.


Reste que partir en "résidence" en un seul lieu, "faire des traversées" ou partir pour travailler sont des choses qui n'ont rien à voir et au cours desquelles la relation à l'ailleurs est complètement différente. Reste aussi qu'être seul, en groupe (même petit) ou en couple sont encore des choses toutes très très différentes.

Mais aussi différentes soient elles, aussi diverses dans ce qu'elles apportent et dans les rencontres que l'on y fait, je sais que chacune de ces façons de voyager me rend chaque jour plus riche et plus fort, que chacune d'entre elle remplit ma valise de ces choses essentielles qui ne nous quitte pas

mercredi 25 novembre 2009

une demoiselle est née

Je suis allé rendre visite à la petite A (et à sa maman), un petit bout de chou de qqs jours, toute mignonne, même si dormir n'a pas l'air d'être sa préoccupation principale pour l'instant. Ce joli bébé fait partie de ceux dont la probable future naissance m'avait fait fuir il ya qqs années (pas facile de se dire que dans les 2 années qui viennent toutes ses ex vont connaitre les joies de la maternité).
Pourtant même si j'avais redouté cette grossesse, j'ai vu plein de fois cette future maman pdt sa grossesse et notre relation n'en a pas été affectée outre mesure. Nous avons réussi à rester proches (même si ces derniers temps nous ne sommes plus aussi proches qu il y a 1 an) et je l'ai vécu comme j'avais vécu la grossesse de ma soeur.
Alors ce bébé j'avais envie de le voir aussi ;-)
Jy suis allé et c'était bien.
J'étais bien, calme, dans cet appart, propre, organisé, calme. Je me suis posé dans le canapé et j'ai regardé V. et sa fille, j'ai regardé la petite A téter, pleurer.J'ai discuté aussi avec la soeur de V.
J'étais là, posé, bien. Tout ça semblait couler de source, une grande sérénité se dégageait.
Je ne disais rien mais je ne m'ennuyais pas, je ne voyais pas le temps passer. Je me sentais à la fois extérieur, spectateur mais en même temps, c'était bien.
J'aurais juste aimé que ça dure, ce sentiment d'être dans un cocon, où rien ne peut arriver. Mais je n'étais pas chez moi et le bureau m'attendait. Alors je suis parti, serein et content, heureux d'avoir vu la petite A et en ayant passé un bon moment.
Merci à vous, mesdemoiselles

dimanche 22 novembre 2009

enfants

Hier j'ai mangé avec des couples d'amis que je connais depuis des années, avec qui j'ai un vrai passé fort. Leurs enfants étaient présents, soit physiquement soit par intermittence soit dans les conversations: 2 enfants le midi, bcp le soir... Il y a qqs années et jusqu'à il y a qqs mois, je serais sorti de là déprimé en me disant "pourquoi pas moi?"...
Là, je me suis simplement senti bien avec les adultes et étranger à leur histoire de parents, sans que cela ne me gène (pas eu trop de moments où la converation n'a concerné que les enfants car là ça devient insupportable).
Avec plutôt une relation saine avec les enfants: distant mas affectueux et sympa.
C'est assez agréable en fait d'être le "tonton" de pleins d'enfants sympas ;-) J'aimerais juste parfois pouvoir donner mon avis sur l'éducation de certains d'entre eux.

mercredi 11 novembre 2009

hors du monde

Ce matin, nous avons été convoqués par le représentant de la France (Consul General, svp) pour assister à la cérémonie du 11 Novembre au consulat. Nous étions 4 (les représentants de LA société pétrolière française, que nous ne nommerons pas, ayant jugé inutile de se présenter): le consul, son adjoint en charge des ONG,F, le représentant du groupe Bolloré et moi-même. Qd nous sommes arrivés au consulat, fausse manip: le drapeau venait d'être détaché du mat... Et évidemment, pas d'échelle... Alors on a grimpé sur le toit de la voiture du consul, puis F a grimpé le long du poteau comme le long d'une corde et a rattaché la corde permettant de hisser le drapeau. Le consul a fait un discours de qqs seconds en mémoire aux anciens combattants, puis hissé le drapeau. Puis une minute de silence.
A 4, là, devant ce drapeau français, dans le jardin d'une maison décati avec une clôture en bambou, au milieu du Sud Soudan, j'ai juste eu l'impression d'être dans un autre monde....

lundi 9 novembre 2009

Envie de découvrir...

Ca fait 2 jours que je suis à Nairobi et je suis à peine sorti de ma piaule d'hotel: Internet et un peu de lecture au bord de la piscine auront été mes principales activités du WE...Alors qu'à 2 pas (allez, 5km), m attendaient les girafes, les rhino, les zèbres, les gazelles et les babouins du National Parc of Nairobi!!!!

Et dire qu'il y a 12 ans je hurlais, à Nairobi déjà, contre les copains qui voulaient dormir dans des vrais hôtels ou se prendre des journées farniente alors que pour moi le monde était là à nos portes et qu'il fallait aller le découvrir...


Je suis devenu con? vieux? blasé? fainéant? ou tout ça à la fois?

samedi 7 novembre 2009

que la Terre est belle...et si variée

Ce matin, j'ai fait un vol Dubaï Nairobi...et j'étais à coté du hublot. Et honnêtement j'ai trouvé ça féerique. D abord Dubaï puis surtout Abu Dhabi. Bien sûr il y a le coté building au milieu du désert, mais ce qui m'a le plus marqué c le coté Venise... Car Abu Dhabi est sur ile de sable au milieu d'une lagune et du coup il se dégage une véritable impression de fragilité. Du sable d'un coté, la mer de l'autre, au milieu un dédale d'iles de sables dont tu te demandes si elles flottent ou pas, des chenaux turquoises, des canaux qui coupent les iles et donnent encore plus une impression de fragilité et là au milieu, les buildings d Abu Dhabi dont tu te demandes vraiment s'ils ont des fondations. Abu Dhabi dans le sillage de Venise et Amsterdam, je ne l'avais jamais conçu comme ça mais aujourd'hui c ça que j ai vu.
Et puis le Rub Al Khali, le Quart Vide, fidèle à son nom: du sable du sable du sable pendant quasiment 2 heures. Des cordons de dunes toujours aussi belles et angoissantes.
Puis la première route, annonciatrice du Yemen. Encore un peu de sable et soudain les premiers rochers apparaissent, surgis d'on ne sait trop où mais remplissant tout à coup tout l'espace, noirs puis ocres mais toujours déchiquetés. Et des maisons se distinguent, très nombreuses, regroupées en villages escarpés: ce sont donc bien là haut, dans ces montagnes, dans ces vallées profondes et ces sommets inaccessibles que l'homme arabe, à l'exception de qqs bédouins du désert, s'est installé de façon durable. Un petit survol d'Aden et de ses plages, pleines de souvenirs pour moi, et ça y est c l'océan indien.
Mais cela ne dure pas, et qqs pages de lectures plus loin, nous voilà déjà à Djibouti si semblable à Aden -sa soeur jumelle en "Rimbauderie": écrasée par le soleil et la chaleur. Des cailloux, noirs, et des sables, dorés, autour d'une mer dont on se demande si elle est vraiment rafraichissante.
Et puis très vite s'enchainent la Somalie et l'Ethiopie. L'Afrique est là, avec ses terres rouges. Ce coup ci on a changé de monde, ça y est. L'aridité s'estompe (même si ce n'est pas la forêt tropicale non plus), les arbres apparaissent, des terres dont on pressent qu'elles doivent faire des pâturages riches les bonnes années sont occupées par des vaches.
Enfin, les plateaux kényans: des fermes éparses sur cette terre rouge et verte: on est bien loin des villages resserrés des montagnes escarpées du Yemen ou des buildings d'Abu Dhbai... Encore qqs minutes à survoler les girafes du Nairobi National Park et ça y est, on atterrit...
Mais quelle était belle la Terre cet après midi, vue de 10 000m au dessus du sol...

mercredi 4 novembre 2009

bizarre...

hier j avais une réunion, comme ça m arrive assez souvent, sur les lieux de mon ancien boulot. Et pour la 1ere fois depuis très longtemps, je savais que je ne croiserai aucune ex dans les couloirs. C'était vraiment une drôle de sensation. A la fois serein mais du coup, ça manquait aussi un peu d'excitation!

lundi 2 novembre 2009

une certaine forme de bonheur

Ca a commencé vers 14h: on est descendu à la cave avec des potes. Ils avaient amené des huitres, de la charcut et du fromage. On a commencé par du St Véran 2000, un peu passé.Puis du Pouilly Fuissé 99: il avait un peu mieux tenu...Et puis et puis les bouteilles se sont enchainés: Chateauneuf (rouge et blanc), Morgon, Savagnin, St Emilion, Graves, Cahors,Gevrey Chambertin... en tout 12 bouteilles à 4 puis 3..
Mais on a pris notre temps: on a commencé à 14h et terminé à 1h30...
Pas trop bourré, juste bien...

On etat vraiment bien ...Et là où ça a fait vraiment plaisir c qd les copains/collègues ont dit que les endroits où on les avait envoyés, ça resterait des expériences inoubliables, que meme si ct dur, ça avait été génial...Pour moi, ca a été une vraie bouffée de bonheur d'entendre ça, de se dire que ct pas que pour moi que je m'étais battu, que ce choix d'envoyer une mission dans ces coins pourris, il fallait le faire... Vraiment rassuré, quoi (même si ça n'enlève rien au questionnement sur els choix personnels)...

Du bon vin, de la bonne bouffe, des potes... Un vrai instant de bonheur quoi...
Manquait bien une présence féminine...mais en même temps, alors que j'y pensais, un peu fatigué, j'ai pas pu m'empêcher de penser que s'il y avait eu parmi nous une charmante présence féminine nous n aurions pas pu nous empêcher de faire les coqs et les choses n'auraient pas été si simples...

samedi 31 octobre 2009

Faire l'amour

Il y a des dizaines de position dans lesquelles faire l'amour, des centaines de scenario, tous plus ou moins bons, tous plus ou moins excitants, tous entretenant le désir, l'excitation... Il y a des dizaines de façon de pénétrer un autre corps et d'échanger en corps à corps: pour se venger, pour dominer, pour oublier, pour punir, en pensant à autre chose ou à qqn d'autre,en étant absent, pour régler des comptes, pour prendre égoïstement du plaisir,ou pour assouvir un besoin. En s'emmerdant ou en s'amusant, en se demandant quand c que ça finit ou sans même voir le temps passer... Ça fait un bon nombre de combinaisons possibles et, multiplié par 2, ça rend chaque corps à corps unique...
Reste qu'il n'y a qu'une seule façon de faire l'amour vraiment: en étant entier, présent par chaque pore de sa peau, en donnant sans compter...en aimant...simplement...complètement.
Scenarii et positions (et ils peuvent bien être qcque, cela n'a pas d'importance) ne sont alors plus là que pour nous permettre de mettre une anecdote en mémoire et de décrire ce souvenir inoubliable...

vendredi 30 octobre 2009

Confirmation

Ce coup ci c sûr: pour être un bon coup ou, pour le moins, pour pouvoir bien faire l'amour, c pas une question de technique mais bien d'être là, présent de la pointe de la langue au bout de la queue, par chaque pore et avec tous ses neurones...
Et c pas si facile... et encore moins commandable

mardi 27 octobre 2009

hasards du calendrier

La semaine dernière a été riche en rencontres avec le passé: parmi les 3 femmes qui ont compté dans ma vie et dont j'ai rêvé avoir des enfants, j'en ai rencontré physiquement 2. L'une part vivre à l'autre bout du monde, l'autre va accoucher dans un mois.
Quant à la 3ème, j'ai passé le WE dans sa ville, dans cette ville qui a accueilli mes premières amours et où je n'étais pas retourné depuis 15 ans...

Ces 3 moments ont été bons. Pour des raisons très très différentes. Mais vraiment bons.
Reste qu'il y a des moments où on aimerait bien faire "del *.*", "CTRL ALT SUPPR" ou "Format C:", enfin un truc qui remet vraiment les compteurs à zéro

lundi 26 octobre 2009

Retrouvailles I

Ca fait 20 ans que je ne lui ai pas parlée. Elle m'attend à l'hôtel, sous la couette. Comme prévu, elle a laissé la porte entrouverte; je rentre sans un mot, je me déshabille gardant juste mon boxer et me glisse sous la couette. Elle me tourne toujours le dos, en culotte et sans soutif. Je me colle contre elle, la mord dans la nuque. C'est notre premier contact depuis 20 ans. Mes mains se glissent sur ses petits seins bien fermes et attrapent ses tétons. Nous nous frottons, peau contre peau. Je n'ai jamais goûté la saveur de sa peau, alors je laisse mes mains explorer, j'embrasse, je mordille. Je sens ses fesses bien dures se frotter contre ma tige qui durcit...Alors je la retourne tendrement et plonge dans ses seins et aspire ses tétons, ma main glisse sous sa culotte, sur ses fesses et l attire contre moi. Mes doigts avancent encore entre ses cuisses et atteignent son intimité si humide. Je sens alors sa main se glisser dans mon boxer et se saisir de mon sexe à pleine main. Son regard se plante alors dans le mien. Enfin!!!

mercredi 21 octobre 2009

Regard

je l'ai revu ce regard qui sourit, je l'ai retrouvé ce sourire qui m'enjôle... Et même si j'ai tremblé pendant toute notre rencontre, c'était bon. Et même si je sais que c'était sans doute la dernière fois avant longtemps, il a illuminé ma journée et j'en suis encore tout heureux, sur un petit nuage en quelque sorte. Mais même si j'en mourrais d'envie, je ne lui ai pas dit "ne pars pas!".

Je me suis juste juré, en partant, de l'attendre...

mardi 20 octobre 2009

En mode attente...

Elle va partir...mais elle n'est pas encore partie! Alors la semaine dernière, j'ai essayé de la voir... Je l'ai loupée mais qd je lui ai envoyée un message elle m'a répondu ok pour cette semaine...
Et puis là, maintenant elle me répond plus: pas de news aux méls, pas de news au tél! Alors j'attends, j'ai libéré toutes mes journées, toutes mes soirées ...mais rien!
Et alors que j'envisageais cette dernière rencontre avec sérénité (juste la regarder dans les yeux et lui faire une bise sage pour lui souhaiter bonne route), le mal au bide m'est retombé dessus depuis mon appel sans réponse de ce soir...

jeudi 15 octobre 2009

Liberté

Depuis qqs temps, j'ai pris l'habitude de prendre mon café le matin au troc d'en bas... Au bouts de qqs semaines, la tenancière m'a demandé mon prénom. Depuis, elle m'appelle comme ça. Ca me saoule, m'enfin bon...
Avant hier, j'etais à la bourre, alors j'm'suis pas arrêté...
Et hier, du couyp, voilà-t-y pas qu'elle me dit "On vous a pas vu, hier!"

Je crois que je vais me passer de café pendant qqs temps

mercredi 14 octobre 2009

tout sec...

Pendant longtemps, ma force et sans doute une de mes qualités a été de savoir écouter les gens, me nourrir de l'énergie qu'ils dégageaient même sans s'en rendre compte et d'arriver à leur rendre...
Je me forçais pas, ct naturel. Souvent ils avaient l'impression que je donnais alors que je ne faisais que restituer...
Et puis là, j'y arrive plus. J'ai mangé avec une amie en début de semaine, avec des copains hier soir et le constat est là: je ne donne plus rien,je n'arrive plus à recevoir pour pouvoir donner. Transparent en qqe sorte, quasi inexistant. Et le monde qui m'entoure est lui aussi du coup quasi inexistant... Comme un herbe asséchée qui n'arrive plus à puiser ni soleil ni eau pour les transformer en fleur...


La carapace de plomb serait elle si épaisse, que même l'amitié n aurait plus de place?

samedi 10 octobre 2009

Faire l'amour ne doit pas être un lot quotidien

J’ai toujours dit que je ne voulais que des histoires fusionnelles et passionnelles ou des passades d’une nuit
J’ai toujours dit qu’il valait mieux être seul que mal accompagné
J’ai passé plus de temps célibataire qu’en couple, par choix
Je suis toujours parti qd j’ai eu l’impression que le quotidien s’installait dans une relation
J’ai toujours quitté la routine, qu’elle soit professionnelle ou sentimentale
Je ne sais rien faire d’autre que fuir qd les choses s’installent.
J’ai toujours dit que la liberté était mon mode de vie
Je n’ai jamais compris ceux qui restent en couple pour ne pas être seul
Je n’ai  jamais compris que l’on puisse attendre d’avoir rencontré qqn d’autre avant de quitter son conjoint
J’ai toujours fui dès que j’ai eu l’impression que je commençais à être attaché

Pourtant, pourtant…hier soir je me serais damné pour avoir une tête sur mon épaule, pour sentir un corps se lover contre le mien au moment de m’endormir !

mardi 6 octobre 2009

cuni

j'adore ça!!!
j adore sentir une femme me faire suffisamment confiance et s'abandonner, s'offrir, m'offrir son fruit. J 'adore découvrir son corps, tout son corps, du bout de la langue, la sensibilité exacerbée au maximum, complètement à l'écoute de ses réactions. J'adore sentir son sexe s'ouvrir, s'épanouir, sentir son corps se détendre, sentir ses mains s'accrocher à mes cheveux, me plaquer contre son sexe. J'adore titiller son clito du bout de la langue, ma langue explorer son corps au plus profond comme si ct un petit sexe, mordiller ou encore écraser ma langue le plus à plat possible pour laper ou lécher doucement. J'adore changer de rythme, être à son écoute et en même temps être maitre du rythme. J'aime m arrêter et recommencer. J'aime que cela soit un jeu et un doux combat. J'aime que ce soit un abandon. J'aime m'oublier et ne plus penser qu'à ce corps que j'embrasse, que je lèche, que je mordille...
oui, j aime faire un cuni et découvrir une femme par ce biais là...

On ne m jamais fait plus plaisir que le jour où, pour notre première nuit et alors que nos corps ne s'étaient pas encore possédés, m'ayant offert un "merci ct très bon" et moi même lui ayant répondu "de rien, j adore ça", elle m'a répondu  "ça se sent!". Quel compliment! je ne l oublierai jamais...

jeudi 1 octobre 2009

un bon coup?

Suis je un bon coup? combien de fois me suis je demandé ça...
Et plus j'y reflechis, plus je me rends compte que plus je suis amoureux et  moins ma partenaire prend de plaisir ou plutôt plus je suis préalablement amoureux au début de notre relation, plus j'imagine d'avenir à notre relation et moins c bien au lit...

Et puis là récemment, je suis tombé sur un article du post de Gwendoline chabadaba sur ce qu'est un bon coup et dont la conclusion est
"C'est un homme qui n'est pas dans la performance. C'est un homme qui ne pense à rien, un homme qui « débranche » pendant l'amour. Qui est juste là, maintenant, à l'instant T et au moment M. Qui est absolument présent. Avec son corps. Qui laisse son corps être à l'écoute de celui de sa partenaire, mais qui ne se pose pas de questions. Qui désactive son cerveau. Qui est sincèrement à ce qu'il fait.
(...)
 C'est donc quelqu'un qui, s'il fait un cuni, le fait parce qu'il en a envie, parce qu'il aime ça, parce qu'il y prend plaisir. C'est tout.
(...)C'est quelqu'un qui fait l'amour parce qu'il aime faire l'amour, tout simplement. Et ça n'a donc pas grand chose à voir avec les sentiments, même si c'est certainement encore mieux quand il aime sa partenaire. " (fin du post)

Et bien voilà!!! Tout est dit, les gars! Debranchez, debranchez, debranchez. Donnez du plasir mais surtout donnez vous, pas parce qu'il faut mais parce que p..de D..., qu'est ce que c'est bon de n'être plus qu'un sexe, de n'être plus qu'une langue qui explore, qui caresse, qui titille, de n'être plus qu'un corps qui caresse...

Oui, c ça...Pour être un bon coup, faut sans doute d'abord avoir envie de profiter à fond de ce moment, sans plus se poser de questions !

samedi 26 septembre 2009

fusion

je rentre dans cette chambre, tu es là, rêveuse devant la fenêtre, le regard perdu. Je m'approche, me colle contre toi, ton corps irradie. ma joue contre ton oreille, mes lèvres dans ton cou, mon sexe contre tes fesses, mes mains qui se glissent sous ta robe...
Tu ne dis rien, tu tends simplement tes fesses et me masse avec ton si ferme fessier. Tu me tiens toujours serré contre toi  et t'effondre sur le lit alors que je suis toujours accroché, mes mains sous ta robe, agrippées à tes hanches. Tu déboutonnes mon jean, mon sexe glisse enfin sous ta robe, ma main écarte ton string et je te pénétre... Tu m'accueilles avec douceur, en profondeur, en allant toujours plus vers moi, en me demandant d'aller encore plus loin... Je m'enfonce encore ... Tu voudrais que je bouge, que je m'active, tu te mets à bouger les fesses...mais non! je m'allonge sur toi, je t'enserre dans mes bras, je m'enfonce encore, plus loin plus fort... tu acquiesces enfin, tu ne veux plus, toi aussi, que cette fusion, lente, profonde. Tu pousses encore, m accueille de plus en plus et m'enserre toujours plus fort. Tous les deux concentrés sur cette force qui nous unit, sur cette union, cette fusion qui ne laisse pas un seul espace, une seule possibilité de mouvement entre nos corps, nous jouissons alors que ma semence éclate au fond de ton ventre...
"La prochaine tu viendras au fond de mon petit trou" me glisses tu, pour ta première parole aujourd'hui, dans un souffle, déjà assoupie...
Nous nous endormons, enfin rassasiés, enfin remplis...

mercredi 23 septembre 2009

envie...

...de pleurer là d un coup, pour tout et pour rien...
parce que rien ne coule comme il faut, parce que les gens ne se comportent pas comme j 'ai envie, parce que je ne comprends pas ceux dont je crois être proche...

parce que le monde est si compliqué...

juste envie soudain d'enlever cette carapace de mec sûr de lui, au regard et à la démarche assurée...et m'effondrer

lundi 21 septembre 2009

Elle va partir!!!!

Elle va partir... C'est sans doute ce qu'elle a trouvé de mieux pour refaire sa vie, pour redémarrer, pour tourner la page, pour recommencer après cette terrible épreuve... Je ne peux pas lui en vouloir, je ne lui en veux d'ailleurs pas! Cet Ailleurs est sans doute effectivement le meilleur moyen pour faire Autre chose, recommencer, revivre à nouveau, retrouver un peu de sens à la vie.
Et pourtant, j'aurais aimé, moi, avoir le courage, d'affronter son regard, d'aller lui dire tous mes regrets, mes rêves jamais avoués, lui poser, les yeux dans les yeux, ces questions qui me hantent et pour lesquelles j ai inventé tous les jours de nouvelles réponses, sans qu'aucune ne m 'apaise.
Elle s'en va et je n aurai pas gouté simplement au bonheur d'être à nouveau dans ses bras; elle s'en va et je ne saurai donc pas qui était le papa biologique de son si regretté petit A...; elle s'en va et je ne saurai donc pas ce qu'elle voulait me dire ce matin là, sur une jetée, en Corse, et que je n'ai pas voulu aller écouter; elle s'en va et je ne saurai pas pourquoi elle n'a pas voulu parler de sentiments un jour de septembre 2008; elle s'en va et je ne saurai donc pas ce qu'elle a dit à son psy et qu'elle a évoqué sans que j'ose lui demander, ce jour de juillet 2008
elle s'en va  et je  ne lui aurai donc toujours pas dit que ce jour là, en Chine, j'aurais aimé qu'elle me dise qu'elle était enceinte, que j'étais le premier à le savoir et que même si je n'en étais pas le père biologique c'est moi qu'elle voulait comme papa pour son enfant...
 Elle s'en va...


Bonne route Mlle A, mais tu me manques, tu sais

samedi 19 septembre 2009

enfin une vraie sensualité...

Après "Les regrets" qui m'avaient laissé plein de déception malgré les beaux seins de la sœur Bruni, je suis allé voir un autre film sur l'adultère, le besoin d'aller voir ailleurs, etc. Je suis donc allé voir "Partir" avec Kristin Scott-Thomas. Alors c sûr, elle a de moins beaux seins et un moins joli corps que la miss Valeria mais 1) elle a d'aussi beaux yeux, 2) ses yeux expriment vraiment l'amour, le désir, le dégout et la haine 3) qd elle fait l amour avec son amant, ça fait envie et qd son mari la viole, ça dégoutte vraiment...  Décidément un bon film (même s'il reste souvent dans le cliché et les stéréotypes) et surtout un très "beau" (au sens propre) et très sensuel film

mercredi 16 septembre 2009

du couple, des enfants et de la fidélité

Quand j'étais petit, un jour , ma mère, qui n'était pas encore conservatrice (elle était jeune elle aussi), alors que je lui posais des questions sur les couples qui se séparaient, les divorces, etc, m avait expliqué que ct un moment difficile pour tout le monde mais que "qd même, même pour les enfants, il vaut mieux des parents heureux et séparés que des parents qui restent ensemble alors qu'ils ne s'aiment plus et qui s'engueulent tout le temps".
Ça avait dû me marquer puisque je m'en souviens toujours ...
En tous cas, j'en tire aujourd'hui 2 leçons:
Avoir entendu ça de la bouche de mes parents (il me semble que mon père en avait rajouté une couche) m'a bcp rassuré par la suite: s'ils étaient toujours ensemble, même qd il y a avait des petites engueulades, c qu'ils s'aimaient  et pas uniqt pour nous. Et je trouvais ça vachement bien de savoir que ses parents s'aimaient...
Par ailleurs, je crois, de ce que je vois chez les autres, que ma mère avait raison: rester en couple "pour les enfants" n'a pas de sens et je crois qu'au contraire il vaut mieux partir qd il est encore temps, qu'on n'est pas aigri et que les enfants pourront jouir de leurs parents séparés mais heureux plutôt qu'ensemble et malheureux

enfin, je dis ça, je dis rien..

lundi 14 septembre 2009

l'incovénient qd on va voir sa famille en province

et qu on rencontre ses frères et soeurs avec des enfants...alors qu'on est soi même parisien, célibataire et tout le temps en vadrouille dans le monde, c qu'on se sent qd même pas mal décalé avec tout le monde...

Alors finalement, comme on n a pas grand chose à dire, on fini par jouer à la brouette et au sac à patates avec les enfants dans la pelouse... c vachement  agréable... 2 jours
;-)

jeudi 10 septembre 2009

petite culotte perdue

ce matin, je sors de chez moi et là, de loin, que vois je? un petit bout de tissu en boule au milieu de la rue. De loin ça m'a l'air d'être du satin, et plus je me rapproche, plus ça se confirme: ce petit bout de tissu en boule au milieu de la rue, c'est bien une petite culotte...
Il y a du monde autour de moi, je fais le timide et je la laisse trainer, tout attristé à l'idée qu'une voiture puisse y rouler dessus et lui imprimer des traces noires, mais que faire.
Je prends mon café au troquet du coin et en sortant je ne peux m'empêcher de jeter un œil vers la rue: le petit bout de tissu est toujours là, attendant que qqn s'occupe enfin de lui. Ça suffit: je ne peux pas le laisser là, abandonné. Je l'ai donc ramassée cette jolie petite culotte: aucune voiture n'avait roulé dessus (ma rue n'est pas très passante).  C un joli string à fleur, son intérieur est rempli d'histoires et d'effluves...

depuis, j imagine l histoire de ce petit bout de tissu abandonné au milieu de la rue, par un matin d'automne... et c est carrément agréable ;-)

des bouquins sur des histoires de coeur et de cul...

c comme les blogs pour sophie, les bouquins qui m'intéressent le plus c ceux qui parlent de c... ou en tous cas de relations compliquées...
Dans la catégorie des histoires de cul je suis un fan de la littérature érotique de Françoise Rey. J ai notamment adoré "Des camions de tendresse", que j 'avais trouvé plein de vie, de désirs ambigus, d'érotisme, de tendresse et, surtout, d amour. Alors du coup là, vite fait un soir, je me suis fait "Marcel facteur". Et là, vraiment, quelle désillusion... Pas d'intérêt, pas d'érotisme, rien d'excitant, rien qui ne donne envie, que du banal

Dans la catégorie histoire de cœur compliquées, alors là, par contre, je vous conseille le dernier PPDA (pourtant PPDA, c pas ma tasse de thé). Un style pas toujours facile à lire mais une description au poil, si j ose dire, des dégâts que peuvent commettre jalousie, paranoïa (l une engendre l autre), doute et perte de confiance dans une histoire d'amour passionnée. Je l'ai lu un dimanche après midi ensoleillé dans le parc de Versailles, allongé dans la pelouse, à mater les jeunes versaillaises sur fond de Grand Canal et de Château, un vrai plaisir

mercredi 9 septembre 2009

un film sur l'adultère...

...supposé montrer la passion des corps, le désir voire le besoin irresistible de s'unir après 15 ans passés loin de l'autre c bien sauf qu'il faut alors que les scènes d'amour soient des vrais scènes d'amour (quitte à prendre des doublures) pleine d'érotisme et de sensualité (ou alors on les montre pas) et que les baisers (surtout s'ils sont filmés en plan fixe et de près) soient des vraies baisers qui , eux aussi, dégagent du désir et montrent l'envie....

A part ça, Valeria Bruni Tedeschi a de très beaux seins

samedi 5 septembre 2009

sur la route

des coins, j en ai vu qqs uns, des avions j en ai pris, des trains, des bus, des bagnoles improbables, des vélos, des machins qui roulent, qui flottent...
J en ai même perdu une grande partie de ma capacité d'émerveillement, de mon envie de découvrir, de cette capacité à se dire que ces gens là à cet endroit là, ils ont certainement plein de choses à nous apprendre, ils ont une façon de vivre qui doit nous pousser à réflechir à la notre de façon de vivre, à se demander si c pas eux qui ont raison. On vieillit que voulez vous...
Et pourtant, et pourtant...
Qd il y a qqs jours on m'a dit que j allais partir au Cameroun, j ai fait des bonds, j'étais à nouveau tout excité, content de reprendre l'avion, de vivre à nouveau une "aventure", de reprendre mon sac et d'aller faire un bout de route qqe part dans le monde
cool!

vendredi 4 septembre 2009

qd les blancs sont apparus

ce furent d'abord qqs uns dans deux ou trois endroits, par groupes denses, sans visible volonté d'expansion, ni de colonisation et au vu de tous. On les laissa faire...
Puis qqs uns, d'un nouveau genre, s'établirent dans qqs creux, dans qqs replis cachés, moins nombreux, plus isolés mais aussi plus costauds et qqe part plus dangereux...On essaya bien de les extirper de leurs cachettes mais toujours ils revenaient..

Et là,  non seulement mes poils roux se sont transformés en blancs depuis longtemps, non seulement qqs poils plus intimes, rares, ont blanchi, non seulement qqs cheveux blancs, courts, sont apparus sur mes tempes mais là,  ce matin, dans le miroir, des cheveux BLANCS PARTOUT, parsemés dans ma chevelure...
Je suis vraiment devenu VIEUX?

jeudi 3 septembre 2009

juste besoin de plaire

c peut être ça le truc...
juste besoin de me prouver (et à a terre entière) que je plais, que je suis pas trop moche, qu'au boulot je peux être l'homme de la situation, qu'ils ont besoin de moi professionnellement, que je peux être une épaule ou un guide pour elle (s), que je peux les aider à faire un bout de route...
accessoirement, me prouver que je suis capable d'avoir la mission dont tout le monde rêve ou la fille qui plait à tous...
ego sur-dimensionné diront sans doute certains et certaines...
mais ce n'est qu'une misérable apparence car qu'on se sent seul qd ce besoin de plaire on ne sait plus quoi en faire et qu'on finit par en avoir honte, qu'on ne sait plus quoi faire ni comment se comporter de peur que tout soit mal interprété...............pris au piège de sa propre image...

lundi 31 août 2009

enfant gaté?

c ce qu'elles disent toutes, qd je raconte ma vie, et que je finis par avouer que je finis toujours par partir et par pleurer celle que j ai quitté ou que j ai poussé à me quitter car incapable de faire un semblant d'effort visible ou de choix en sa faveur...
c ce qu'ils disent tous en parlant de ces conquêtes que je n ai pas su garder, en parlant de ces missions, de ces voyages que mon boulot m'a offert, toujours bien placé pour qu'on me les propose et pourtant toujours en train de penser à la prochaine mission, au prochain boulot, plein d'espoir que c à moi qu'on pensera...

Enfant gâté, c ce que tout le monde me dit, comme si je ne savais pas apprécier ce que la vie m'a donné, simplement parce que je ne sais pas me contenter de ce que j ai

Moi je dirais "simplement exigeant" et c est pas parce qu'on a souvent eu du "bon", premièrement qu'on a eu que du bon et deuxièmement qu'on devrait se contenter de ce qu'on a...

Alors, enfant gâté? si ca veut dire que j ai eu de la chance et que j ai eu bcp de choses dont bcp n'oseraient même pas rêver, peut être...mais c qd même aussi parce que j'ai fait des choix, des renoncements, même si je les ai cachés, ...mais je vais pas recommencer à me plaindre sinon on va encore dire que décidément je suis un sale gosse!