mais c qui cet enfant gaté

certains me décrivent comme "branleur", d'autres comme "sensible derrière la carapace". En tous cas, ici, s'exprimera un petit bout de moi: celui des souffrances, des fantasmes et des envies

jeudi 23 décembre 2010

String, bas et porte jarretelle

Dans qqs heures, pour sûr, je serai heureux de t'entrainer sous se proche, dans cette petite rue du centre ville , dans une de ces ruelles où Stendhal rêvait de Mme de Rénal, de remonter ta jupe, de découvrir, au bout de tes immenses jambes mises en valeur par tes bas, tes belles fesses fermes encadrées des deux attaches de ton fin porte jarretelle et entre lesquelles ton string  s'immisce, comme un invite au plaisir... Alors, ce joli fessier, je te demanderai de le tendre et, t'appuyant contre un de ces piliers de cette ruelle sombre, je te ferai te cambrer d'une belle tape sur les fesses qui résonnera sous ces arcades. Tu me diras alors "chut...viens"...Et je m'enfoncerai en toi, doucement, tendrement, loin, très profond...Et n'arrêterai mes longs et doux va et vient que qd tu me le demanderas...

Mais ça,c pour tout à l'heure...car pour l'instant, je te tiens par la main et traverse cette place Lafayette avec une fierté que je n'ai pas connu depuis des années. Oui ce soir, je suis fier de t'avoir avec moi, de m'afficher avec cette belle femme, fier de savoir que sous ta jupe, tu as décidé de porter pour moi, ces beaux dessous que personne ne verra sauf moi, fier de savoir que sous cette silhouette de sportive que tout le monde admire dans la rue, c l'intellectuelle, la spécialiste de son domaine, l'experte, la battante que je tiens dans ma main et avec qui je vais diner. Fier que celle que j'ai combattu, rivale pendant des années d'enfance, ennemie (sans savoir pourquoi..des restes de jalousie de l enfance peut être) pendant l'adolescence, je l'ai enfin conquise... Fier surtout de ne plus avoir peur et d'avoir transformé le regard blessant et arrogant que j'avais envers toi  en un regard qui espere en permanence un sourire de ta part.

Oui, tout à l heure, dans ton porte jarretelle, c ton cul qui me fera bander mais pour l'instant, en cette place Lafayette, c tes yeux heureux et pétillants, qui font bouillir mon sang ...

4 commentaires:

Anonyme a dit…

Si un homme pouvais parler de moi comme ça...
Finalement le bonheur tiens à peu de chose...
C'est si simple pour la majorité des gens et si compliqué pour d'autres

enfant gaté a dit…

@Anonyme: je suis sur qu'un homme pense la même chose que j 'ai écrit pour toi..Peut être l exprime t il différemment c tout.
Bon courage

armandie a dit…

wouah, je suis sous le charme de ce billet, je trouve qu'il est riche de sens pour celle qui fut sur cette place avec toi.
Merci de partager cette émotion avec nous, c'est une douceur qui fait du bien.
baisers
Armandie

perrine a dit…

C'est rare qu'on arrive à me faire taire, quelles que soient les circonstances ... C'est chose faite !
Je te bise