mais c qui cet enfant gaté

certains me décrivent comme "branleur", d'autres comme "sensible derrière la carapace". En tous cas, ici, s'exprimera un petit bout de moi: celui des souffrances, des fantasmes et des envies

samedi 5 décembre 2009

retrouvailles II

Elle m'a donné rendez vous dans ce bois qu'elle connaissait si bien dans notre enfance et où je n'ai pas mis les pieds depuis 20 ans... Mais cette fois ci "nous n'allons pas jouer aux mêmes jeux!" m'a-t-elle avertie.
Comme prévu, elle est bien là, près de ce grand pin, juste derrière la statue de la vierge... Dès qu'elle m'aperçoit, elle se retourne, pose sa tête entre ses bras le long du tronc et se cambre légèrement, tendant ses fesses et sa longue robe claire au travers de laquelle le soleil joue avec l'ombre des ses jambes. Je m'approche doucement, m'agenouille, excité par ce que je vais trouver. Je remonte le bas de sa robe jusqu'à sa taille et ce que je vois m'enchante. Comme annoncé, elle est nue. Sans doute excitée par le contact direct du tissu sur ses fesses et, peut être, par mon arrivée prochaine, elle me semble un peu nerveuse, les nerfs à fleur de peau. Je passe tendrement ma main entre ses cuisses pour atteindre son pubis et sa toison et la ramène bien à plat vers l'arrière: oui elle est physiquement terriblement excitée. Je me penche encore un peu plus, approche mon visage de ses fesses autant que ce qu'elle se cambre et approche son sexe de mon visage à son tour. Ses lèvres sont terriblement gonflées, rouge carmin, pleines de sang, écarlates et terriblement luisantes... Ce n'est plus un sexe mais un fruit aussi brillant et gonflé qu'un kaki bien mûr que l'on aurait entrouvert d'un simple coût de lame. Je meurs d'envie de le déguster, de le gouter, de le lécher, de me l'approprier du bout de la langue mais à peine j'approche un peu plus mon visage de ce fruit si appétissant, elle proteste , de la voix et des fesses. Tout juste si je peux faire un petit bisou du bout des lèvres sur ses lèvres si gonflées. J'ai compris: je me redresse, entrouvre mon pantalon, fais jaillir mon sexe de mon boxer et m approche à nouveau de ses fesses. Ce coup ci, pas de protestation... Au contraire, elle se cambre encore plus, tend ses fesses, ouvre son sexe. Je continue mon approche et puis m'enfonce doucement mais fermement, directement, sans à coup mais sans arrêt, jusqu'au fond, jusqu'à sentir mon ventre contre ses fesses, mes couilles contre ses lèvres. Elle soupire enfin, "OUI", "Accroche toi", "Viens, encore". Et comme je voudrais profiter et me reposer, elle insiste, se penche encore plus en avant, se cambre encore et se met à faire des aller-retour avec ses fesses. Je n'ai plus le choix: ce coup ci il me faut la pistonner, de plus en plus fort, de plus en plus vite, accroché à ses hanches, au rythme de ses encouragements, de ses cris.
Je sais qu'elle voudrait que je jouisse en elle, mais ça elle ne l'aura pas: je me retire au dernier moment et jouis longuement entre ses fesses, massant doucement sa petite rondelle de ma semence

5 commentaires:

perrine a dit…

Waouh ! C'est quand tes prochaines vacances dans le sud ?

beaverstef a dit…

Rooooooooooooooooooooooo
Mais quel délice à lire très cher... Vous m'en voyez toute pantoise ce matin!
J'aime j'aime j'aime... comment vous écrivez. Durant quelques secondes je m'y serai cru.
Encooooore!!!!!
Je vous embrasse... t'embrasse!

Crikette a dit…

Waouh chaud, quelle délectation de te lire...si ton blog est aussi appétissant que cet article, je m'abonne :-D
Miam j'en redemande ;-)

enfant gaté a dit…

Mesdemoiselles, merci!!!

Heureux que ça vous ait plû...
J essaierai de mettre d'autres récits érotiques ici, si cela vous plait ;-) (si en plus ca vous donne des idées ...)

Bisous chauds et gourmands à toutes les trois

karine a dit…

oulala....pourquoi ai-je si chaud d'un seul coup?
Je reste sur votre blog monsieur