J’ai toujours dit que je ne voulais que des histoires fusionnelles et passionnelles ou des passades d’une nuit
J’ai toujours dit qu’il valait mieux être seul que mal accompagné
J’ai passé plus de temps célibataire qu’en couple, par choix
Je suis toujours parti qd j’ai eu l’impression que le quotidien s’installait dans une relation
J’ai toujours quitté la routine, qu’elle soit professionnelle ou sentimentale
Je ne sais rien faire d’autre que fuir qd les choses s’installent.
J’ai toujours dit que la liberté était mon mode de vie
Je n’ai jamais compris ceux qui restent en couple pour ne pas être seul
Je n’ai jamais compris que l’on puisse attendre d’avoir rencontré qqn d’autre avant de quitter son conjoint
J’ai toujours fui dès que j’ai eu l’impression que je commençais à être attaché
Pourtant, pourtant…hier soir je me serais damné pour avoir une tête sur mon épaule, pour sentir un corps se lover contre le mien au moment de m’endormir !
mais c qui cet enfant gaté
- enfant gaté
- certains me décrivent comme "branleur", d'autres comme "sensible derrière la carapace". En tous cas, ici, s'exprimera un petit bout de moi: celui des souffrances, des fantasmes et des envies
samedi 10 octobre 2009
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11 commentaires:
il y a des jours comme ça…
C'est étrange... J'ai cru que c'était moi qui avais écrit ce texte... C'est quasiment mot pour mot ce que j'ai dit à ma cops cette après-midi...
Un mal générationnel?
Une symbiose commune à beaucoup d'entre nous...
Mais comme je vous comprends... La liberté oui mais pas seul... Elle n'a alors aucune valeur et aucune raison d'être...
Bisous
Comme je te comprends ! Heureusement ça ne dure pas ;-) !
la peau de l'autre c'est une drogue: j'ai du me passer de ma moitié une nuit durant laquelle j'ai d'ailleur tres peu dormi et le lendemain quand je l'ai retrouvé j'avais besoin de le toucher de le carresser car mes doigts avaient oublié la saveur de son contact. Moi tu vois, je n'ai jamais compris qu'on puisse fuir de si doux moments que ceux d'être à deux.
baisers
Il va falloir qu ej ete donne mon numéro de tél... ;-)
chacun vit sa vie comme il le ressent, chacun fait des choix personnels, heureusement qu'ils sont différents pour chacun d'ailleurs, mais il est sûr que tout le monde sans exception éprouve un jour de profonds moments de solitude, en étant accompagné ou pas d'ailleurs.
baisers
Armandie
Ben, pourquoi elle a changé de titre cette note ? "Passer ma vie à ne pas faire l'amour" c'était trop négatif comme approche ?
A la relecture, je trouvais que ça ne rendait pas ce que je voulais dire car , dans ma vie, l amour, le vrai, celui qui te fait croire que soudain tu es passé dans n autre monde, je l ai qd fait plein de fois ;-)
Ouf ! Nous voilà soulagé !
l'impression de m'entendre... !!
Bises de papillon
je me retrouve aussi souvent dans votre blog ..même si je n ai pas votre courage, petit papillon
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